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Deux avions, deux tours, de la fumée, des gens qui sautent, des cris, des pleurs, une incompréhension sont des images que tous les Américains et tous les citoyens du monde garderont en tête pour très longtemps. C'est écrit dans l'histoire comme un 11 septembre qui a fait trembler la terre entière. L'histoire en histoire puisque cette triste matinée a fait beaucoup parler d'elle à travers les écrits.
Le traumatisme vécu en biographies ou en témoignages troublants a rempli les étagères des librairies et des bibliothèques. Dans son roman «Septembre en t'attendant» (Casterman, 2009, l'Américaine Alissa Torres raconte le deuil de cette femme enceinte de 7 mois qui apprend la mort de son mari dans l'une des deux tours. Dans le registre de la politique-fiction, les Français Eric Corbeyran et Bartoll se penchent sur les origines et les conséquences des attentats dans la série 9/11 (éditions 12 bis, 2010-2011). De l'écrit et des romans mais pas seulement, puisque le dessin est à la fois plus percutant et attire l'œil plus facilement. Et cela, les dessinateurs du monde l'ont tout de suite compris. En 2003, le dessinateur danois Henrik Rehr résident non loin du World Trade Center racontait la journée de cauchemar de ce matin-là où il n'avait pas eu de nouvelles de sa famille dans son roman «Mardi 11 septembre» (Vents d'Ouest).
En dessin toujours et surtout en bande dessinée avec un projet de 19 dessinateurs, journalistes, écrivains et auteurs qui réunissent leur talent autour du drame et de ses conséquences sur les Etats-Unis. Un collectif intitulé 12 septembre, l'Amérique d'après avec notamment l'auteur américain Art Spiegelman, Carlos Sampayo, Miles Hyman et Russel Banks où des artistes de différents horizons rassemblent leur art comme pour exubérer de cette douleur. Un album de planches de bandes dessinés, de dessins de presse, de textes et d'illustrations paru le 17 aout dernier, pour garder en mémoire cette triste matinée qui fera l'objet également d'expositions à Paris et à New York. Le neuvième art au service du neuvième mois de l'année, une suite de dessins au service d'un post-traumatisme dans l'espoir d'oublier la souffrance tout en gardant en mémoire les faits, histoire de sortir de sa bulle.
Le traumatisme vécu en biographies ou en témoignages troublants a rempli les étagères des librairies et des bibliothèques. Dans son roman «Septembre en t'attendant» (Casterman, 2009, l'Américaine Alissa Torres raconte le deuil de cette femme enceinte de 7 mois qui apprend la mort de son mari dans l'une des deux tours. Dans le registre de la politique-fiction, les Français Eric Corbeyran et Bartoll se penchent sur les origines et les conséquences des attentats dans la série 9/11 (éditions 12 bis, 2010-2011). De l'écrit et des romans mais pas seulement, puisque le dessin est à la fois plus percutant et attire l'œil plus facilement. Et cela, les dessinateurs du monde l'ont tout de suite compris. En 2003, le dessinateur danois Henrik Rehr résident non loin du World Trade Center racontait la journée de cauchemar de ce matin-là où il n'avait pas eu de nouvelles de sa famille dans son roman «Mardi 11 septembre» (Vents d'Ouest).
En dessin toujours et surtout en bande dessinée avec un projet de 19 dessinateurs, journalistes, écrivains et auteurs qui réunissent leur talent autour du drame et de ses conséquences sur les Etats-Unis. Un collectif intitulé 12 septembre, l'Amérique d'après avec notamment l'auteur américain Art Spiegelman, Carlos Sampayo, Miles Hyman et Russel Banks où des artistes de différents horizons rassemblent leur art comme pour exubérer de cette douleur. Un album de planches de bandes dessinés, de dessins de presse, de textes et d'illustrations paru le 17 aout dernier, pour garder en mémoire cette triste matinée qui fera l'objet également d'expositions à Paris et à New York. Le neuvième art au service du neuvième mois de l'année, une suite de dessins au service d'un post-traumatisme dans l'espoir d'oublier la souffrance tout en gardant en mémoire les faits, histoire de sortir de sa bulle.
