Le Maroc est l'une des destinations rentables de la compagnie «Emirates» reliant Casablanca à Dubaï. « Près de 1% du chiffre d'affaires global de notre compagnie est réalisé au Maroc, sachant que nous assurons cette desserte à raison de sept fréquences hebdomadaires », a précisé Khalid Al Haddad, directeur régional d'Emirates pour le Maroc.
A noter que pour les 111 destinations desservies dans 66 pays sur six continents, le chiffre d'affaires de cette compagnie émiratie, dont le nombre d'appareils en service se hisse à 151, s'est élevé à 11,8 milliards de dollars en 2009-2010 tandis que le résultat net s'est établi à 964 millions de dollars.
Une performance qui lui a permis de détrôner les compagnies aériennes les plus redoutables dans le monde. Ainsi, au Maroc, pour profiter de l'engouement des clients sur ses offres aériennes, elle n'a pas lésiné sur les moyens. Elle vient d'opérer, il y a un mois l'Airbus A 340-500 sur la ligne Casablanca-Dubaï. Déjà, le management est satisfait des retombées d'une telle décision. Le taux de remplissage s'élève à 85% avec 60% des passagers de nationalité marocaine. Cet appareil, disposant de 258 sièges distribués sur les trois classes,
leur permet de profiter des meilleurs et plus innovants services dans les aires qui comprennent, entre autres, le système de divertissement, d'information et de télécommunications, plusieurs fois primé.
A signaler que ce système, qui offre plus de 600 chaînes vidéo et audio à la demande, y compris des chaînes qui diffusent 57 films modernes et classiques, plus de 20 films destinés aux enfants, profite à tous les passagers sur les trois classes. Les 12 suites privées en première classe, pour un tarif de 52.000 dirhams, permettent aux passagers de vivre le concept de chambres d'hôtels de luxe. Chaque suite dispose d'un grand écran interactif individuel et d'un fauteuil en cuir télécommandé, équipé d'un masseur et transformable en un lit.
La classe Business comptant 42 sièges se transformant en lits semi-plats, pour un tarif de 32.000 dirhams, fournit également les premières normes de confort et de luxe dans les airs.
Quant à la classe économique contenant 204 sièges confortables avec de larges espaces entre les rangées, permet aux passagers, pour un tarif de 9.900 DH, de découvrir la différence dans le service du transport aérien. D'ailleurs, pour les trois classes, une image du ciel nocturne avec constellations scintillantes, est représentée sur les panneaux de plafond de l'A340-500 afin d'aider les passagers à ajuster leur « horloge biologique » interne et de réduire les effets du décalage horaire. L'A340-500 est l'avion qui a le plus large rayon d'action avec une autonomie de 16.700 kilomètres, ce qui en fait un redoutable concurrent du Boeing 777-200 LR, voire du 787 Dreamliner pas encore mis en service.
prévisions de séjours loisir, il ressort que près de 70% des personnes interrogées envisageaient un séjour dans un de ces pays avant la situation de crise actuelle. Aujourd'hui, 72% avouent être moins enclins à prendre des vacances dans cette région.
Les 28% restants affirment que la probabilité pour qu'ils voyagent au Moyen-Orient et au Maghreb n'est pas affectée par la situation actuelle.
A noter que pour les 111 destinations desservies dans 66 pays sur six continents, le chiffre d'affaires de cette compagnie émiratie, dont le nombre d'appareils en service se hisse à 151, s'est élevé à 11,8 milliards de dollars en 2009-2010 tandis que le résultat net s'est établi à 964 millions de dollars.
Une performance qui lui a permis de détrôner les compagnies aériennes les plus redoutables dans le monde. Ainsi, au Maroc, pour profiter de l'engouement des clients sur ses offres aériennes, elle n'a pas lésiné sur les moyens. Elle vient d'opérer, il y a un mois l'Airbus A 340-500 sur la ligne Casablanca-Dubaï. Déjà, le management est satisfait des retombées d'une telle décision. Le taux de remplissage s'élève à 85% avec 60% des passagers de nationalité marocaine. Cet appareil, disposant de 258 sièges distribués sur les trois classes,
leur permet de profiter des meilleurs et plus innovants services dans les aires qui comprennent, entre autres, le système de divertissement, d'information et de télécommunications, plusieurs fois primé.
A signaler que ce système, qui offre plus de 600 chaînes vidéo et audio à la demande, y compris des chaînes qui diffusent 57 films modernes et classiques, plus de 20 films destinés aux enfants, profite à tous les passagers sur les trois classes. Les 12 suites privées en première classe, pour un tarif de 52.000 dirhams, permettent aux passagers de vivre le concept de chambres d'hôtels de luxe. Chaque suite dispose d'un grand écran interactif individuel et d'un fauteuil en cuir télécommandé, équipé d'un masseur et transformable en un lit.
La classe Business comptant 42 sièges se transformant en lits semi-plats, pour un tarif de 32.000 dirhams, fournit également les premières normes de confort et de luxe dans les airs.
Quant à la classe économique contenant 204 sièges confortables avec de larges espaces entre les rangées, permet aux passagers, pour un tarif de 9.900 DH, de découvrir la différence dans le service du transport aérien. D'ailleurs, pour les trois classes, une image du ciel nocturne avec constellations scintillantes, est représentée sur les panneaux de plafond de l'A340-500 afin d'aider les passagers à ajuster leur « horloge biologique » interne et de réduire les effets du décalage horaire. L'A340-500 est l'avion qui a le plus large rayon d'action avec une autonomie de 16.700 kilomètres, ce qui en fait un redoutable concurrent du Boeing 777-200 LR, voire du 787 Dreamliner pas encore mis en service.
L'impact géopolique sur les voyages
Khalid Al Haddad, le directeur régional de Emirates pour le Maroc ne s'en cache pas. Il reconnaît que les problèmes géopolitiques actuels ne sont pas sans impacter l'activité de la compagnie émiratie, notamment en Libye qui concentrait un bon volume. Une réalité qu'affrontent toutes les compagnies aériennes actives dans les régions concernées par ces problèmes géopolitiques ou les catastrophes naturelles. D'ailleurs, Travelzoo, société média, dénicheur de «bons plans voyages » sur Internet, a livré il y a quelques semaines, les résultats d'une enquête focalisée sur le ressenti de ses abonnés suite à ces événements survenus depuis le début de l'année. Ces résultats révèlent notamment les peurs du plus grand nombre de planifier de futurs voyages sur certaines destinations. Ainsi, par rapport à l'impact des crises géopolitiques du Moyen-Orient et du Maghreb (Egypte, Tunisie, Lybie, Bahreïn) sur lesprévisions de séjours loisir, il ressort que près de 70% des personnes interrogées envisageaient un séjour dans un de ces pays avant la situation de crise actuelle. Aujourd'hui, 72% avouent être moins enclins à prendre des vacances dans cette région.
Les 28% restants affirment que la probabilité pour qu'ils voyagent au Moyen-Orient et au Maghreb n'est pas affectée par la situation actuelle.
