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C'est désormais le rendez-vous culturel le plus en vue de la ville de Meknès. La fête du film d'animation offre, chaque année, au public de la capitale ismaïlienne, l'occasion de découvrir les dernières nouveautés de ce genre cinématographique à travers le Festival international de cinéma d'animation de Meknès (FICAM®).
Aussi, du 15 au 20 avril, l'Institut français de Meknès parrain de cet événement d'envergure, proposera, lors de la 11e édition de ce festival, une brochette de films réalisés par de grands noms de l'animation. Comme le veut la tradition, chaque édition est placée sous une thématique particulière. Cette année, elle sera dédiée aux liens entre «illustration et cinéma d'animation : l'école russe».
C'est donc la grande école d'animation russe qui sera à l'honneur cette année. «Le cinéma d'animation russe, comme le démontre la programmation de cette année - qui ne se veut en aucun cas exhaustive vu son immensité - a pour modeste ambition de démontrer la diversité du cinéma d'animation qui puise sa force dans son patrimoine oral, littéraire et culturel, tout en étant contemporain, novateur, inventeur de formes. Cette programmation a également, à notre sens, un intérêt pédagogique dans la mesure où nous aimerions attirer l'intérêt des futurs créateurs marocains encadrés dans nos ateliers de formation (qui sont de plus en plus nombreux à effectuer le déplacement à Meknès) sur cette agréable leçon que nous livrent les artistes russes donnant ainsi au monde une image multiple de la culture de leur pays», justifie Mohammed Beyoud, directeur artistique du FICAM. Pendant les 6 jours que durera cette manifestation, des films de grande facture, minutieusement sélectionnés par des connaisseurs de ce cinéma, seront projetés dans différents lieux de la ville. Pour ouvrir cette grand-messe cinématographique, le film «Allez raconte !» sera présenté en avant-première. Quant au film « 7 frères », il sera projeté à Meknès en même temps que sa sortie en France.
C'est dire l'importance de ce festival et sa volonté d'être au diapason de la programmation internationale. C'est cette même volonté qui anime Mohammed Beyoud, et à travers lui l'Institut français de Meknès qui relève, chaque année, le défi de toujours rester aussi innovant et en adéquation avec sa ligne éditoriale. «Le principe de la programmation est de montrer au public des films d'animation, toutes techniques confondues, qu'il n'aura pas l'occasion de voir. Tout au long des 10 années qui constituent l'âge du festival, nous avons eu la chance d'accueillir les noms les plus prestigieux du cinéma d'animation», souligne M. Beyoud.
A côté de la projection de grands films du cinéma d'animation et des dernières créations, le festival se veut un lieu de formation et d'initiation. Une éducation à l'image qu'il effectue à travers des programmes dédiés aux cinéastes en herbe et aux jeunes qui ont la fibre de l'animation. Car les potentialités sont là qui ne demandent qu'à être encadrées. Pour s'en convaincre, il n'y a qu'à voir la qualité des bandes annonces du festival qui sont réalisées, à chaque fois, par de jeunes artistes.
Les huit lieux, qui abriteront cette année les activités du festival recouvrant toute la ville de Meknès (Ville nouvelle et médina), accueilleront les jeunes et leurs familles pour leur offrir des moments de joie, de magie et d'émerveillement. Rencontres, tables rondes, ateliers, master classe… sont autant de matières qui confortent et soutiennent la jeune création marocaine en matière de cinéma d'animation. Car au final, l'objectif ultime de cette belle aventure qui relie l'Institut français de Meknès aux Conserves de Meknès – Aïcha est d'encourager la jeune création marocaine. Un partenariat qui débouchera certainement sur la création de la 1re école de cinéma d'animation en Afrique.
Aussi, du 15 au 20 avril, l'Institut français de Meknès parrain de cet événement d'envergure, proposera, lors de la 11e édition de ce festival, une brochette de films réalisés par de grands noms de l'animation. Comme le veut la tradition, chaque édition est placée sous une thématique particulière. Cette année, elle sera dédiée aux liens entre «illustration et cinéma d'animation : l'école russe».
C'est donc la grande école d'animation russe qui sera à l'honneur cette année. «Le cinéma d'animation russe, comme le démontre la programmation de cette année - qui ne se veut en aucun cas exhaustive vu son immensité - a pour modeste ambition de démontrer la diversité du cinéma d'animation qui puise sa force dans son patrimoine oral, littéraire et culturel, tout en étant contemporain, novateur, inventeur de formes. Cette programmation a également, à notre sens, un intérêt pédagogique dans la mesure où nous aimerions attirer l'intérêt des futurs créateurs marocains encadrés dans nos ateliers de formation (qui sont de plus en plus nombreux à effectuer le déplacement à Meknès) sur cette agréable leçon que nous livrent les artistes russes donnant ainsi au monde une image multiple de la culture de leur pays», justifie Mohammed Beyoud, directeur artistique du FICAM. Pendant les 6 jours que durera cette manifestation, des films de grande facture, minutieusement sélectionnés par des connaisseurs de ce cinéma, seront projetés dans différents lieux de la ville. Pour ouvrir cette grand-messe cinématographique, le film «Allez raconte !» sera présenté en avant-première. Quant au film « 7 frères », il sera projeté à Meknès en même temps que sa sortie en France.
C'est dire l'importance de ce festival et sa volonté d'être au diapason de la programmation internationale. C'est cette même volonté qui anime Mohammed Beyoud, et à travers lui l'Institut français de Meknès qui relève, chaque année, le défi de toujours rester aussi innovant et en adéquation avec sa ligne éditoriale. «Le principe de la programmation est de montrer au public des films d'animation, toutes techniques confondues, qu'il n'aura pas l'occasion de voir. Tout au long des 10 années qui constituent l'âge du festival, nous avons eu la chance d'accueillir les noms les plus prestigieux du cinéma d'animation», souligne M. Beyoud.
A côté de la projection de grands films du cinéma d'animation et des dernières créations, le festival se veut un lieu de formation et d'initiation. Une éducation à l'image qu'il effectue à travers des programmes dédiés aux cinéastes en herbe et aux jeunes qui ont la fibre de l'animation. Car les potentialités sont là qui ne demandent qu'à être encadrées. Pour s'en convaincre, il n'y a qu'à voir la qualité des bandes annonces du festival qui sont réalisées, à chaque fois, par de jeunes artistes.
Les huit lieux, qui abriteront cette année les activités du festival recouvrant toute la ville de Meknès (Ville nouvelle et médina), accueilleront les jeunes et leurs familles pour leur offrir des moments de joie, de magie et d'émerveillement. Rencontres, tables rondes, ateliers, master classe… sont autant de matières qui confortent et soutiennent la jeune création marocaine en matière de cinéma d'animation. Car au final, l'objectif ultime de cette belle aventure qui relie l'Institut français de Meknès aux Conserves de Meknès – Aïcha est d'encourager la jeune création marocaine. Un partenariat qui débouchera certainement sur la création de la 1re école de cinéma d'animation en Afrique.
