«Favoriser l'échange entre Maghrébins et prôner l'excellence pour être plus efficace dans l'aide aux couples souffrant d'infertilité» : c'est le pari lancé par les laboratoires biopharmaceutiques Merck Serono et les participants aux «Rencontres scientifiques», organisées fin mai dernier, avec une centaine de médecins gynécologues marocains, tunisiens et algériens.
Ces derniers ont passé en revue la problématique d'édifier un consensus en la procréation médicalement assistée (PMA) et l'ensemble des pratiques médicales cliniques et biologiques de la procréation à travers des workshops animés par des experts maghrébins et internationaux tels que les Pr Jean Noel Hugues, l'un des plus illustres spécialistes de la santé de la reproduction, professeur de renommée internationale, enseignant dans de nombreuses universités (Paris XI, Paris VII, Paris XIII…) et membre des centres européen et américain de recherche en endocrinologie, andrologie et médecine reproductive et le Pr. Roger Roulier, professeur en gynécologie obstétrique et responsable de l'Institut de médecine de la reproduction de Marseille. Il est également rédacteur en chef du site Internet médecine et biologie de la reproduction. La synergie des médecins gynécologues marocains, tunisiens et algériens est un passage obligé pour l'efficacité. «Nous constatons un réel besoin de formation et d'expertise dans le domaine de la PMA afin de prendre en charge des patients au Maghreb, car ces techniques de procréation ne sont pas dispensées dans le cycle académique que poursuivent les médecins.
Contribuer à développer les compétences des gynécologues afin de pouvoir répondre au désir d'enfant de couples infertiles fait partie des priorités stratégiques de notre laboratoire», a précisé Dr. Sara Jerbi de Merck Serono pour l'Afrique du Nord et de l'Ouest. «Nous voulons permettre aux médecins maghrébins d'accéder aux meilleures pratiques et stratégies thérapeutiques internationales adaptées à la région nord-africaine. Il s'agira désormais aux médecins des trois pays d'échanger systématiquement à travers un réseau, des études de cas pratiques cliniques et de pouvoir en dégager régulièrement des processus et stratégies», a-t-elle ajouté.
Ces derniers ont passé en revue la problématique d'édifier un consensus en la procréation médicalement assistée (PMA) et l'ensemble des pratiques médicales cliniques et biologiques de la procréation à travers des workshops animés par des experts maghrébins et internationaux tels que les Pr Jean Noel Hugues, l'un des plus illustres spécialistes de la santé de la reproduction, professeur de renommée internationale, enseignant dans de nombreuses universités (Paris XI, Paris VII, Paris XIII…) et membre des centres européen et américain de recherche en endocrinologie, andrologie et médecine reproductive et le Pr. Roger Roulier, professeur en gynécologie obstétrique et responsable de l'Institut de médecine de la reproduction de Marseille. Il est également rédacteur en chef du site Internet médecine et biologie de la reproduction. La synergie des médecins gynécologues marocains, tunisiens et algériens est un passage obligé pour l'efficacité. «Nous constatons un réel besoin de formation et d'expertise dans le domaine de la PMA afin de prendre en charge des patients au Maghreb, car ces techniques de procréation ne sont pas dispensées dans le cycle académique que poursuivent les médecins.
Contribuer à développer les compétences des gynécologues afin de pouvoir répondre au désir d'enfant de couples infertiles fait partie des priorités stratégiques de notre laboratoire», a précisé Dr. Sara Jerbi de Merck Serono pour l'Afrique du Nord et de l'Ouest. «Nous voulons permettre aux médecins maghrébins d'accéder aux meilleures pratiques et stratégies thérapeutiques internationales adaptées à la région nord-africaine. Il s'agira désormais aux médecins des trois pays d'échanger systématiquement à travers un réseau, des études de cas pratiques cliniques et de pouvoir en dégager régulièrement des processus et stratégies», a-t-elle ajouté.