Connexion
C'est avec un style musical authentique, mixant les influences folk, blues, gospel, rock, funk et reggae que le célèbre chanteur américain Ben Harper a clôturé la 17e édition du festival de Fès des musiques sacrées du monde. Pour son premier concert au Maroc et en Afrique, Ben Harper a fait vibrer Bab El Makina et gratifié son public, composé en majorité de jeunes, d'un moment musical unique.
Après son rendez-vous manqué avec le public fassi l'année dernière suite à une blessure à l'épaule, Ben Harper a exprimé son honneur d'être enfin présent dans cette ville spirituelle et a expliqué dans ce cadre que la visite qu'il a effectuée la veille de son concert à l'ancienne Médina changera désormais sa vision de la vie.
Il a proposé aux mélomanes un show exceptionnel marqué par un jeu de guitare époustouflant.
Né dans une famille de luthiers de Californie, Ben Harper est un ambassadeur artistique de l'Amérique, une Amérique qui, à travers ses baladins nomades, a porté l'essence même d'une spiritualité issue des souvenirs d'une Afrique perdue, des vicissitudes de l'esclavage et des espoirs des premiers colons. Recevant sa première guitare à l'âge de 7 ans, Ben est depuis cet instant inséparable de cet instrument magique dont il fait un usage d'une grande maîtrise. Entamant sa soirée avec une prestation individuelle et étant accompagné uniquement de sa guitare qu'il a mise à plat sur ses genoux, cordes vers le haut suivant la technique américaine du « Slide », Ben Harper a réalisé une prouesse artistique typique mêlant des tonalités diversifiées.
Cette démonstration lui a ainsi valu un déluge d'applaudissements de la part des spectateurs subjugués par cette maîtrise phénoménale et ce jeu de guitare authentique.
Le spectacle s'est ainsi poursuivi avec un enchainement de titres que Harper a interprétés avec classe et sensibilité, en compagnie de sa troupe musicale. Ce sont des morceaux inspirés de différentes ambiances musicales et couvrant toutes les variations de la musique noire américaine, partant du blues et se prolongeant jusqu'à couvrir toutes les musiques dérivées de ce dernier : folk, rock, funk, reggae gospel, quelques accents de hip-hop, de la soul et bien d'autres couleurs musicales.
Et c'est ensuite un Ben Harper en djellaba qui invite en scène une vingtaine de spectateurs pour une interprétation en chorale du titre "I love her". Un moment de grande émotion, de générosité et de partage de la part de cet artiste de cœur qui a littéralement conquis les âmes du public fassi.
Digne héritier du grand Bob Dylan, Ben Harper a plongé ses fans le temps d'une soirée dans un voyage au cœur d'une Amérique traditionnelle et contemporaine. Une Amérique de tous ces artistes «hobo» errant à la recherche d'une autre vie et pris dans cette quête d'authenticité où rythmes riment avec originalité.
Le rideau est tombé donc sur le festival de Fès des musiques sacrées du monde après 10 jours de concerts musicaux, de spectacles et d'expositions artistiques. A l'image du dernier concert de Ben Harper, la 17e édition du festival a connu un succès sans précédent. Ainsi le public a répondu présent lors de toutes les journées et les soirées du festival pour assister à des moments artistiques exceptionnels.
Outre la soirée inaugurale marquée par la présentation de l'oratorio « Leylâ et Majûn » qui a permis aux Fassis de découvrir un nouveau genre musical, le public a eu droit à un voyage artistique dans les tendances universelles du sacré. De l'Inde à Éthiopie en passant par l'Espagne, l'Italie et la France, c'est un tour du monde en quête de sagesse qu'a proposé le festival de Fès des musiques sacrées à ses fans toujours plus nombreux.
Après son rendez-vous manqué avec le public fassi l'année dernière suite à une blessure à l'épaule, Ben Harper a exprimé son honneur d'être enfin présent dans cette ville spirituelle et a expliqué dans ce cadre que la visite qu'il a effectuée la veille de son concert à l'ancienne Médina changera désormais sa vision de la vie.
Il a proposé aux mélomanes un show exceptionnel marqué par un jeu de guitare époustouflant.
Né dans une famille de luthiers de Californie, Ben Harper est un ambassadeur artistique de l'Amérique, une Amérique qui, à travers ses baladins nomades, a porté l'essence même d'une spiritualité issue des souvenirs d'une Afrique perdue, des vicissitudes de l'esclavage et des espoirs des premiers colons. Recevant sa première guitare à l'âge de 7 ans, Ben est depuis cet instant inséparable de cet instrument magique dont il fait un usage d'une grande maîtrise. Entamant sa soirée avec une prestation individuelle et étant accompagné uniquement de sa guitare qu'il a mise à plat sur ses genoux, cordes vers le haut suivant la technique américaine du « Slide », Ben Harper a réalisé une prouesse artistique typique mêlant des tonalités diversifiées.
Cette démonstration lui a ainsi valu un déluge d'applaudissements de la part des spectateurs subjugués par cette maîtrise phénoménale et ce jeu de guitare authentique.
Le spectacle s'est ainsi poursuivi avec un enchainement de titres que Harper a interprétés avec classe et sensibilité, en compagnie de sa troupe musicale. Ce sont des morceaux inspirés de différentes ambiances musicales et couvrant toutes les variations de la musique noire américaine, partant du blues et se prolongeant jusqu'à couvrir toutes les musiques dérivées de ce dernier : folk, rock, funk, reggae gospel, quelques accents de hip-hop, de la soul et bien d'autres couleurs musicales.
Et c'est ensuite un Ben Harper en djellaba qui invite en scène une vingtaine de spectateurs pour une interprétation en chorale du titre "I love her". Un moment de grande émotion, de générosité et de partage de la part de cet artiste de cœur qui a littéralement conquis les âmes du public fassi.
Digne héritier du grand Bob Dylan, Ben Harper a plongé ses fans le temps d'une soirée dans un voyage au cœur d'une Amérique traditionnelle et contemporaine. Une Amérique de tous ces artistes «hobo» errant à la recherche d'une autre vie et pris dans cette quête d'authenticité où rythmes riment avec originalité.
Le rideau est tombé donc sur le festival de Fès des musiques sacrées du monde après 10 jours de concerts musicaux, de spectacles et d'expositions artistiques. A l'image du dernier concert de Ben Harper, la 17e édition du festival a connu un succès sans précédent. Ainsi le public a répondu présent lors de toutes les journées et les soirées du festival pour assister à des moments artistiques exceptionnels.
Outre la soirée inaugurale marquée par la présentation de l'oratorio « Leylâ et Majûn » qui a permis aux Fassis de découvrir un nouveau genre musical, le public a eu droit à un voyage artistique dans les tendances universelles du sacré. De l'Inde à Éthiopie en passant par l'Espagne, l'Italie et la France, c'est un tour du monde en quête de sagesse qu'a proposé le festival de Fès des musiques sacrées à ses fans toujours plus nombreux.
