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Dans la cité des Alizés, les éditions du festival des Andalousies atlantiques d'Essaouira se suivent sans jamais se ressembler. Chaque année est l'occasion de mettre en avant un art qui symbolise le partage et le dialogue de cultures et de confessions qui ont toujours cohabité en toute harmonie sous le ciel du Maroc.
Chaque édition rend également hommage à des artistes qui ont beaucoup apporté à la musique judéo-arabe et marqué de leur empreinte la musique andalouse dans la région du Maghreb. Sami El Maghrebi, Raymonde Bedaouia, Haïm Louk, Mohamed Briouel et bien d'autres ont eu droit aux honneurs lors des précédentes éditions.
Pour sa 8e édition, qui démarre aujourd'hui pour se poursuivre jusqu'au 30 octobre, Essaouira revêt ses plus beaux habits pour recevoir ses invités. Ces mélomanes font le déplacement des différentes villes du Royaume mais aussi de l'étranger pour savourer ce festival qui, au-delà de sa valeur artistique, célèbre les valeurs de la tolérance, comme ne cesse de le marteler André Azoulay, Conseiller de S.M. le Roi et président fondateur de l'Association-Essaouira Mogador.
«Dans un monde qui sait de moins en moins résister aux vertiges du repli identitaire et aux illusions de la fracture culturelle et spirituelle, le Maroc, sous la conduite éclairée de S.M. le Roi Mohammed VI, a affiché à Essaouira, avec talent, détermination et sérénité, les plus belles couleurs de la richesse de toutes ses diversités». Une action à conjuguer aussi bien au passé qu'au présent et au futur.
Aujourd'hui donc, la place Bab El Menzeh vibrera aux rythmes les plus enchanteurs. Le coup d'envoi de cette grande fête sera donné par l'Orchestre des jeunes talents du conservatoire de Fès, dirigé par Driss Berrada. Les dignes héritiers de l'Ecole prestigieuse d'Abdelkrim Raïs et de leur actuel Maître Mohamed Briouel proposeront au public d'Essaouira des pièces parmi les plus symboliques du répertoire maghrébin de la musique Al Ala.
Après cet avant-goût musical, le chanteur Maxime Karoutchi investira la scène pour mettre le feu sur les planches. Cet originaire d'Essaouira chauffera, à coup sûr, l'ambiance avec son interprétation exceptionnelle et sa voix envoûtante. Gardien du temple du patrimoine judéo-marocain transmis par sa famille depuis 6 générations, Maxime gratifiera son public de son répertoire de prédilection : le Répertoire judéo-marocain, à travers les chansons de Salim Hallali et Sami El Maghrebi.
La fête se poursuivra, un peu plus loin, dans la belle bâtisse de Bar Souiri, avec les Confréries d'Essaouira, pour un moment de joie et d'allégresse à travers un voyage, haut en couleur, dans les contrées du patrimoine musical millénaire du Maroc et de la cité des vents. Tout un programme.
Chaque édition rend également hommage à des artistes qui ont beaucoup apporté à la musique judéo-arabe et marqué de leur empreinte la musique andalouse dans la région du Maghreb. Sami El Maghrebi, Raymonde Bedaouia, Haïm Louk, Mohamed Briouel et bien d'autres ont eu droit aux honneurs lors des précédentes éditions.
Pour sa 8e édition, qui démarre aujourd'hui pour se poursuivre jusqu'au 30 octobre, Essaouira revêt ses plus beaux habits pour recevoir ses invités. Ces mélomanes font le déplacement des différentes villes du Royaume mais aussi de l'étranger pour savourer ce festival qui, au-delà de sa valeur artistique, célèbre les valeurs de la tolérance, comme ne cesse de le marteler André Azoulay, Conseiller de S.M. le Roi et président fondateur de l'Association-Essaouira Mogador.
«Dans un monde qui sait de moins en moins résister aux vertiges du repli identitaire et aux illusions de la fracture culturelle et spirituelle, le Maroc, sous la conduite éclairée de S.M. le Roi Mohammed VI, a affiché à Essaouira, avec talent, détermination et sérénité, les plus belles couleurs de la richesse de toutes ses diversités». Une action à conjuguer aussi bien au passé qu'au présent et au futur.
Aujourd'hui donc, la place Bab El Menzeh vibrera aux rythmes les plus enchanteurs. Le coup d'envoi de cette grande fête sera donné par l'Orchestre des jeunes talents du conservatoire de Fès, dirigé par Driss Berrada. Les dignes héritiers de l'Ecole prestigieuse d'Abdelkrim Raïs et de leur actuel Maître Mohamed Briouel proposeront au public d'Essaouira des pièces parmi les plus symboliques du répertoire maghrébin de la musique Al Ala.
Après cet avant-goût musical, le chanteur Maxime Karoutchi investira la scène pour mettre le feu sur les planches. Cet originaire d'Essaouira chauffera, à coup sûr, l'ambiance avec son interprétation exceptionnelle et sa voix envoûtante. Gardien du temple du patrimoine judéo-marocain transmis par sa famille depuis 6 générations, Maxime gratifiera son public de son répertoire de prédilection : le Répertoire judéo-marocain, à travers les chansons de Salim Hallali et Sami El Maghrebi.
La fête se poursuivra, un peu plus loin, dans la belle bâtisse de Bar Souiri, avec les Confréries d'Essaouira, pour un moment de joie et d'allégresse à travers un voyage, haut en couleur, dans les contrées du patrimoine musical millénaire du Maroc et de la cité des vents. Tout un programme.
