Il s'agira donc d'une programmation aux arômes divers, avec des artistes d'Afrique, d'Europe, des Amériques et d'Asie. Le programme promet un tour d'horizon constitué de spectacles originaux. Dans la rue ou dans les salles intimistes des hôtels, sur les places publiques ou dans les salles de bal et dans les palais de la ville du Détroit, la fête s'annonce chaude et bien rythmée. « Tanjazz est décidément l'évènement de la rentrée. C'est le festival de l'automne, à la grande satisfaction des habitués qui ne cessent de nous féliciter de l'avoir déplacé en septembre», explique l'architecte Nacer Amiar, membre de l'équipe de l'organisation. Venus d'horizons différents, les artistes dévoileront des tendances et des influences disparates. Improvisation ou composition, c'est une balade à travers le jazz classiquement américain, le jazz chaleureusement latino et afro-cubain, en plus des surprenants jazz, fruit de fusions inédites de sonorités internationales.
Le bal sera ouvert par Le Gros Tube et Wab. Pour l'un, big band déjanté, ce sera du funk jazz saupoudré de musiques du monde ; pour l'autre, un incroyable human beat box, il livrera de l'électro funk vocal à consommer sans modération. Dans l'intimité du Palais des institutions italiennes, ce sont Les Divinas qui allumeront la scène extérieure. Le lendemain, les amateurs du chant et de la danse découvriront du Jazz swing gitano manouche offert en exclusivité par les Pommes de ma douche, suivis par la potion magique des sorcières bien aimées de Witchcraft. Citoyennes du monde, les trois vedettes du jazz aux drums envoient du pur bonheur avec des vrais morceaux de joie de vivre dedans. Vendredi, les deux scènes principales seront investies par les brigades étoilées du Roy Hargrove Quintet puis par Sarah Lenka et son quartet. Le premier est considéré comme étant la vedette de cette édition. Philippe Lorin, le directeur du festival, le confirme : «Une énorme vedette dans le monde du jazz, un chouchou d'Universal Music que nous avons pu avoir grâce à tout le bien que Monty Alexander, qui était la tête d'affiche de l'édition 2010, lui a dit de notre festival».
Le week-end, le rendez-vous sera donné à la grande Lillian Boutté & The Gigolos. Notez que la fille du Mississipi est la seconde légende du jazz après Louis Armstrong à avoir été nommée «Ambassadrice musicale de la Nouvelle-Orléans ». Plus parisien, mais tout aussi festif, Matthieu Boré paiera ensuite sa tournée en sablant les bulles de son opus Frizzante, avec son pétillant combo existentialiste remixant, de jazz clubs en caveaux et les standards. En seconde partie de ce samedi soir, Roberta Gambarini, l'intense italienne au look profilé de star Cinecittà et d'autre vedettes Universal Music. En deux albums exquis, «Easy in Love» et «So in Love», elle a mis les States à ses pieds. Tanjazz pense aux enfants cette année et leur réserve tout un concert. En effet, le dimanche, les petits bouts de choux et leurs parents auront droit au spectacle de Roger Cactus, Muzicaloustiks qui permettra aux petits de faire le plein d'énergie avant d'entamer une nouvelle semaine.
Le bal sera ouvert par Le Gros Tube et Wab. Pour l'un, big band déjanté, ce sera du funk jazz saupoudré de musiques du monde ; pour l'autre, un incroyable human beat box, il livrera de l'électro funk vocal à consommer sans modération. Dans l'intimité du Palais des institutions italiennes, ce sont Les Divinas qui allumeront la scène extérieure. Le lendemain, les amateurs du chant et de la danse découvriront du Jazz swing gitano manouche offert en exclusivité par les Pommes de ma douche, suivis par la potion magique des sorcières bien aimées de Witchcraft. Citoyennes du monde, les trois vedettes du jazz aux drums envoient du pur bonheur avec des vrais morceaux de joie de vivre dedans. Vendredi, les deux scènes principales seront investies par les brigades étoilées du Roy Hargrove Quintet puis par Sarah Lenka et son quartet. Le premier est considéré comme étant la vedette de cette édition. Philippe Lorin, le directeur du festival, le confirme : «Une énorme vedette dans le monde du jazz, un chouchou d'Universal Music que nous avons pu avoir grâce à tout le bien que Monty Alexander, qui était la tête d'affiche de l'édition 2010, lui a dit de notre festival».
Le week-end, le rendez-vous sera donné à la grande Lillian Boutté & The Gigolos. Notez que la fille du Mississipi est la seconde légende du jazz après Louis Armstrong à avoir été nommée «Ambassadrice musicale de la Nouvelle-Orléans ». Plus parisien, mais tout aussi festif, Matthieu Boré paiera ensuite sa tournée en sablant les bulles de son opus Frizzante, avec son pétillant combo existentialiste remixant, de jazz clubs en caveaux et les standards. En seconde partie de ce samedi soir, Roberta Gambarini, l'intense italienne au look profilé de star Cinecittà et d'autre vedettes Universal Music. En deux albums exquis, «Easy in Love» et «So in Love», elle a mis les States à ses pieds. Tanjazz pense aux enfants cette année et leur réserve tout un concert. En effet, le dimanche, les petits bouts de choux et leurs parents auront droit au spectacle de Roger Cactus, Muzicaloustiks qui permettra aux petits de faire le plein d'énergie avant d'entamer une nouvelle semaine.
