Plusieurs personnalités et beaucoup d'habitués du Festival étaient présents au Théâtre National Mohammed V pour assister au coup d'envoi de cette grande manifestation musicale internationale. Certains ont même pris la peine de venir d'autres villes proches de la capitale. «Chaque année, je prends toute la semaine pour assister à la majorité des spectacles de Mawazine. Il y a bien des gens qui voyagent à l'étranger pour assister à des festivals de ce genre. Avec Mawazine, nous avons l'opportunité d'avoir chez nous un festival international où l'on trouve des artistes de qualité. Pourquoi ne pas en profiter», témoigne une férue du festival Mawazine.
Cet événement musical pour lequel «les organisateurs n'épargnent aucun effort pour offrir un programme riche et diversifié, contribuant par là même au dialogue des cultures et des civilisations», comme le souligne Aziz Seghrouchni, président délégué de Maroc Cultures, dans son allocution d'ouverture, avant de procéder à la remise des trophées du festival pour rendre hommage à deux stars de la musique. L'une marocaine, faisant partie de l'histoire de la musique du Maroc : Al Moussiqar Abdelwahab Doukkali qui fut très ému par ce geste. «Cet hommage me fait honneur et prendra une grande place dans mon cœur et chez moi. Et puis, c'est un plaisir pour moi de participer à ce festival qui met en exergue la place du Maroc dans l'univers de l'art et de la culture», renchérit-il. L'autre star est le légendaire compositeur, producteur et arrangeur, Quincy Jones qui, lui aussi, s'est dit très heureux de revenir au Maroc et de participer à ce grand festival international. «Je garde un merveilleux souvenir de mon passage au Maroc qui date de 1953 lorsque j'avais 19 ans. Je salue, par ailleurs, le rôle de Mawazine dans la promotion de l'art et de la musique», ajoute-t-il.
Des mots très touchants ayant précédé la rentrée sur scène de l'époustouflante troupe japonaise Gocco. Une douzaine de jeunes, en majorité des filles, qui étaient surprenants avec leur jeu et leur incroyable présence scénique, faisant vibrer l'assistance grâce leurs rythmes endiablés allant jusqu'à la musique de transe. Ils évoluent sur scène dans une parfaite synchronisation, accomplissant des chorégraphies acrobatiques, rythmées et harmonieuses. Leur spectacle est une interprétation moderne d'une longue tradition de percussions japonaises, allant, semble-t-il, jusqu'à s'insinuer dans l'âme du spectateur pour prendre le contrôle de son corps. Une expérience hors du commun avec une multitude de nouveaux tours hypnotiques et autres instruments qui apparaissent de temps en temps, comme la flûte, les castagnettes…
Ce groupe de percussion, fondé en 1997 à Tokyo, et qui est à l'origine de la bande originale du film «Matrix-Reloaded», offre plus qu'une simple musique. Mais c'est une véritable mise en scène que nous avons vécue en sa compagnie. Leurs trois énormes tournées en Europe de 2003 à 2005, puis celle mondiale en 2006 ont toutes été couronnées d'un vif succès auprès des grandes masses. Car chacun de leurs concerts regroupe de 15 000 à 70 000 personnes, pour une prestation unique en son genre. C'est un vrai moment de défoulement et de magie qu'ils ont fait vivre aux spectateurs lors de cette ouverture.
Les bénéfices récoltés par le projet iront à des associations s'occupant des enfants au Maroc, en Afrique du Nord et dans les pays du Moyen-Orient. AMAL (Arab Music Arts and Literacy) est l'intitulé qu'a donné Quincy Jones à cette création qui veut dire en arabe Espoir. Donc, Tomorrow (demain) et Amal (espoir), c'est-à-dire plus d'espoir pour un lendemain meilleur.
Cet événement musical pour lequel «les organisateurs n'épargnent aucun effort pour offrir un programme riche et diversifié, contribuant par là même au dialogue des cultures et des civilisations», comme le souligne Aziz Seghrouchni, président délégué de Maroc Cultures, dans son allocution d'ouverture, avant de procéder à la remise des trophées du festival pour rendre hommage à deux stars de la musique. L'une marocaine, faisant partie de l'histoire de la musique du Maroc : Al Moussiqar Abdelwahab Doukkali qui fut très ému par ce geste. «Cet hommage me fait honneur et prendra une grande place dans mon cœur et chez moi. Et puis, c'est un plaisir pour moi de participer à ce festival qui met en exergue la place du Maroc dans l'univers de l'art et de la culture», renchérit-il. L'autre star est le légendaire compositeur, producteur et arrangeur, Quincy Jones qui, lui aussi, s'est dit très heureux de revenir au Maroc et de participer à ce grand festival international. «Je garde un merveilleux souvenir de mon passage au Maroc qui date de 1953 lorsque j'avais 19 ans. Je salue, par ailleurs, le rôle de Mawazine dans la promotion de l'art et de la musique», ajoute-t-il.
Des mots très touchants ayant précédé la rentrée sur scène de l'époustouflante troupe japonaise Gocco. Une douzaine de jeunes, en majorité des filles, qui étaient surprenants avec leur jeu et leur incroyable présence scénique, faisant vibrer l'assistance grâce leurs rythmes endiablés allant jusqu'à la musique de transe. Ils évoluent sur scène dans une parfaite synchronisation, accomplissant des chorégraphies acrobatiques, rythmées et harmonieuses. Leur spectacle est une interprétation moderne d'une longue tradition de percussions japonaises, allant, semble-t-il, jusqu'à s'insinuer dans l'âme du spectateur pour prendre le contrôle de son corps. Une expérience hors du commun avec une multitude de nouveaux tours hypnotiques et autres instruments qui apparaissent de temps en temps, comme la flûte, les castagnettes…
Ce groupe de percussion, fondé en 1997 à Tokyo, et qui est à l'origine de la bande originale du film «Matrix-Reloaded», offre plus qu'une simple musique. Mais c'est une véritable mise en scène que nous avons vécue en sa compagnie. Leurs trois énormes tournées en Europe de 2003 à 2005, puis celle mondiale en 2006 ont toutes été couronnées d'un vif succès auprès des grandes masses. Car chacun de leurs concerts regroupe de 15 000 à 70 000 personnes, pour une prestation unique en son genre. C'est un vrai moment de défoulement et de magie qu'ils ont fait vivre aux spectateurs lors de cette ouverture.
Le projet “Tomorrow” de Quincy Jones
Quincy Jones et Maroc Cultures présentent “Tomorrow” (Bokra), une chanson qui rassemble des artistes arabes et américains pour une noble cause. Durant cette 10e édition sera ainsi produite la version arabe du tube planétaire “Tomorrow”. Un projet colossal pour la première fois réalisé dans le monde arabe, avec la participation de toutes les stars orientales qui se produiront durant la 10e édition de Mawazine.Les bénéfices récoltés par le projet iront à des associations s'occupant des enfants au Maroc, en Afrique du Nord et dans les pays du Moyen-Orient. AMAL (Arab Music Arts and Literacy) est l'intitulé qu'a donné Quincy Jones à cette création qui veut dire en arabe Espoir. Donc, Tomorrow (demain) et Amal (espoir), c'est-à-dire plus d'espoir pour un lendemain meilleur.
