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Une année après son décès, la galerie «Les Artistes» estime, à travers cette exposition, rendre hommage à l'homme et au peintre qui a transmis sa passion pour le Maroc dans ses créations picturales. Des travaux on ne peut plus influencés par les paysages, les souks et les traditions du pays, dont l'artiste est tombé sous le charme depuis 2005, année où il est venu en simple visiteur. Mais, le destin en a décidé autrement, puisqu'il y est resté jusqu'à sa disparition en 2010, en laissant derrière lui toute une œuvre attestant de cet amour et ce respect pour cette terre qui l'a adoptée depuis le premier jour.
Impressionné par la lumière, les couleurs vives et les scènes folkloriques, Alain Capouilliet s'en est inspiré pour créer des toiles dans un style figuratif très contemporain, où la beauté et la diversité des couleurs sont reflétées par la main d'un maître de la peinture. Ses tableaux font le tour des différentes scènes traditionnelles qui imprègnent nos villes marocaines, tout en se penchant sur le côté naturel avec sa magie ensorcelante des champs de coquelicots et de marguerites dont regorgent les terrains fertiles du Nord au Sud et de l'Est à l'Ouest. « Ses expositions ont toujours été très suivies au Maroc et en France par un public autant d'amateurs que de professionnels qui sont attirés par ses travaux exceptionnels et très originaux», atteste Zaynab Idrissi, directrice artistique de la galerie. Elle ajoute que «en hommage à ce grand ami du Maroc, l'espace «Les Artistes», qui est un lieu de partage culturel et artistique, a pris l'initiative d'honorer l'âme de cet ami peintre une année après son décès, dans le but de graver son souvenir dans les cœurs des amateurs de l'art». Ainsi, l'exposition d'une collection des toiles de l'artiste français Alain Capouilliet, du 14 juillet au 14 septembre, est une reconnaissance à un artiste qui, lui aussi, a honoré le Maroc par ses travaux artistiques très recherchés et révélateurs d'un vrai amour pour ce pays.
Reconnu au tout début de sa carrière par ses peintures impressionnistes aux couleurs sensuelles et fortes, puis par son grand intérêt pour l'art des entreprises de sports mécaniques, Alain Capouilliet s'est vu décerner plusieurs prix et médailles, puis a été accueilli dans différentes prestations de grande importance. Ses expositions au Maroc ont toujours été saluées par tous genres de public, notamment son exposition à «Place aux artistes » où il a fait la connaissance des deux sœurs Khamlichi, Hiba et Ghita, qui l'ont impressionné par leur talent. Une rencontre qui a eu de l'effet sur les jeunes peintres, ravies d'être appréciées par un artiste de ce calibre. «J'ai été vraiment enchantée par les paroles de ce maître de la peinture. Je suis très fière des mots qu'il a écrits sur moi et ma sœur. C'est très encourageant pour nous », souligne Ghita Khamlichi, dont l'adoption par ce peintre a été un vecteur essentiel dans sa jeune carrière.
À 12 ans, Alain Capouilliet change de registre en se prêtant, pendant quelques temps, à la peinture abstraite, avant de revenir très vite au figuratif et à l'impressionnisme qui ont constitué les fondements de sa technique.
Sa recherche d'une voie qui s'apparente à celle de l'école impressionniste et des courants de peinture qui se sont greffés à cette école lui ont permis, à 17 ans, de participer à une exposition collective où il obtient le deuxième prix de peinture.
Trois ans plus tard, Alain Capouilliet organise sa première exposition individuelle qui connaît un réel succès public. Il s'est forgé une renommée internationale en enchaînant des exposition, de par le monde, dépassant de loin le chiffre des 150 prestations collectives ou individuelles.
Impressionné par la lumière, les couleurs vives et les scènes folkloriques, Alain Capouilliet s'en est inspiré pour créer des toiles dans un style figuratif très contemporain, où la beauté et la diversité des couleurs sont reflétées par la main d'un maître de la peinture. Ses tableaux font le tour des différentes scènes traditionnelles qui imprègnent nos villes marocaines, tout en se penchant sur le côté naturel avec sa magie ensorcelante des champs de coquelicots et de marguerites dont regorgent les terrains fertiles du Nord au Sud et de l'Est à l'Ouest. « Ses expositions ont toujours été très suivies au Maroc et en France par un public autant d'amateurs que de professionnels qui sont attirés par ses travaux exceptionnels et très originaux», atteste Zaynab Idrissi, directrice artistique de la galerie. Elle ajoute que «en hommage à ce grand ami du Maroc, l'espace «Les Artistes», qui est un lieu de partage culturel et artistique, a pris l'initiative d'honorer l'âme de cet ami peintre une année après son décès, dans le but de graver son souvenir dans les cœurs des amateurs de l'art». Ainsi, l'exposition d'une collection des toiles de l'artiste français Alain Capouilliet, du 14 juillet au 14 septembre, est une reconnaissance à un artiste qui, lui aussi, a honoré le Maroc par ses travaux artistiques très recherchés et révélateurs d'un vrai amour pour ce pays.
Reconnu au tout début de sa carrière par ses peintures impressionnistes aux couleurs sensuelles et fortes, puis par son grand intérêt pour l'art des entreprises de sports mécaniques, Alain Capouilliet s'est vu décerner plusieurs prix et médailles, puis a été accueilli dans différentes prestations de grande importance. Ses expositions au Maroc ont toujours été saluées par tous genres de public, notamment son exposition à «Place aux artistes » où il a fait la connaissance des deux sœurs Khamlichi, Hiba et Ghita, qui l'ont impressionné par leur talent. Une rencontre qui a eu de l'effet sur les jeunes peintres, ravies d'être appréciées par un artiste de ce calibre. «J'ai été vraiment enchantée par les paroles de ce maître de la peinture. Je suis très fière des mots qu'il a écrits sur moi et ma sœur. C'est très encourageant pour nous », souligne Ghita Khamlichi, dont l'adoption par ce peintre a été un vecteur essentiel dans sa jeune carrière.
Entre figuratif et impressionnisme
Natif de Hazebrouck au Nord de la France, Alain Capouilliet est attiré par la peinture depuis son très jeune âge. À huit ans déjà, il fut remarqué par son proche entourage à travers ses peintures se rapprochant de l'œuvre de Modigliani.À 12 ans, Alain Capouilliet change de registre en se prêtant, pendant quelques temps, à la peinture abstraite, avant de revenir très vite au figuratif et à l'impressionnisme qui ont constitué les fondements de sa technique.
Sa recherche d'une voie qui s'apparente à celle de l'école impressionniste et des courants de peinture qui se sont greffés à cette école lui ont permis, à 17 ans, de participer à une exposition collective où il obtient le deuxième prix de peinture.
Trois ans plus tard, Alain Capouilliet organise sa première exposition individuelle qui connaît un réel succès public. Il s'est forgé une renommée internationale en enchaînant des exposition, de par le monde, dépassant de loin le chiffre des 150 prestations collectives ou individuelles.
