«Les cafards envahissent ma maison. Je ne trouve plus de solutions à ces bestioles qui circulent partout dans la maison notamment dans les toilettes, la cuisine et la salle de bain». «Il y a une invasion de cafards notamment ceux qui volent au niveau de Casablanca. Ils entrent par les fenêtres, en dessous des portes, partout». «Au secours, je déteste les cafards et je n'arrive pas à les chasser de chez moi»,… la majorité des Casablancais ne parlent plus que des bestioles d'été qui s'aventurent au sein de leurs maisons. «On en trouve même au bureau, c'est répugnant», indique un autre habitant de la capitale économique. Dès le début de l'été, différentes bestioles et insectes se propagent partout. Dans les rues de la métropole, plus le baromètre grimpe, plus les cafards affichent une longévité particulièrement importante. Ces bestioles marron pullulent, notamment près des amas d'ordures qui font désormais partie du décor de la ville. Selon un responsable d'hygiène au niveau de la métropole, le cumul des ordures ménagères favorise la propagation des microbes, surtout en été.
En outre, il fait le bonheur des rats, cafards et insectes qui rôdent autour de ces saletés à la recherche de nourriture. Ainsi les citoyens doivent impérativement fermer les sacs-poubelles avant de les jeter. «Les cafards font partie de notre vie quotidienne. Même si on surveille l'hygiène de nos demeures et on ferme les sacs et bacs à ordures, on ne peut pas les éviter», rétorque un autre Casablancais. « J'ai utilisé plusieurs produits anti-cafards liquides, en poudre ou pommade en vain. Les cafards sont de plus en plus résistants, en outre ils vivent dans les égouts et c'est à la ville de trouver une solution à ce problème », déplore un habitant de l'avenue 2 Mars. En effet, il existe bel et bien une division d'hygiène pour lutter contre ce genre de cohabitation hideux. Etant donné la nature du travail de cette unité qui dépend du Conseil de la ville, des équipes de désinfection et de dératisation sont toujours présentes au service des citoyens afin d'intervenir en cas d'une invasion massive de bestioles. Ils travaillent en général en collaboration avec un gestionnaire délégué et les sociétés de nettoyage. «En cas de problème, les citoyens casablancais peuvent avoir recours au service d'hygiène de leur arrondissement via un appel téléphonique ou une réclamation, affirme un responsable communal.
Ce dernier prendra en charge la désinsectisation des bâtiments envahis par les insectes, cafards ou rats». En cas d'opération d'envergure, «le bureau central d'hygiène intervient pour donner un coup de main aux bureaux municipaux», apprend-on de même source. Ces opérations se font selon les moyens disponibles aux bureaux d'hygiène. Il est à noter que le bureau principal s'occupe surtout de l'hygiène des grandes surfaces et administrations telles que le marché de gros, les abattoirs, les parcs et les administrations publiques. Les services de désinsectisation et de dératisation privés sont aussi au service des citoyens. Par ailleurs, les sociétés délégataires de la collecte des déchets ménagers peuvent intervenir pour dégager des déchets qui favorisent la propagation des cafards mais aussi des rats. Ces entreprises peuvent ainsi venir au secours des citoyens casablancais contre les bestioles qui envahissent la métropole. Pour avoir leur aide, il suffit de remplir un formulaire de réclamation ou de leur fournir le nom, l'adresse et le numéro de téléphone du plaignant. Dans des conditions normales, le citoyen doit attendre une semaine pour avoir l'intervention des équipes spécialisées. Cependant, le délai de réponse n'est jamais assuré.
La vaisselle ainsi souillée peut altérer le goût des aliments chauds. Les cafards pénètrent dans les bâtiments et habitations soit en volant, soit par les fentes mêmes étroites (1,5mm suffit pour une blatte adulte) ou de petites ouvertures. Les blattes circulent aisément par les gaines techniques et les colonnes de vide-ordures qui relient les appartements. Elles s'introduisent également sous la porte d'entrée, par la fenêtre, au travers des bouches d'aération. Une seule femelle ou même une seule capsule d'œufs cachée dans un emballage suffit pour infester tout un édifice. Il convient de se méfier de ces insectes qui peuvent être porteurs de maladies. De nombreux ouvrages font état de toute une série d'agents pathogènes présents dans leur organisme ou sur eux et dans leurs matières fécales. Il existe plusieurs études récentes sur les allergies aux blattes, en particulier celles germaniques et américaines. Plusieurs personnes, par exemple, ont la diarrhée, sans même se douter que c'est à cause des cafards. En réalité, les blattes peuvent transporter 4 lignées du virus de la poliomyélite, en plus de 40 espèces de bactéries pathogènes, si elle les a rencontrées en chemin.
En outre, il fait le bonheur des rats, cafards et insectes qui rôdent autour de ces saletés à la recherche de nourriture. Ainsi les citoyens doivent impérativement fermer les sacs-poubelles avant de les jeter. «Les cafards font partie de notre vie quotidienne. Même si on surveille l'hygiène de nos demeures et on ferme les sacs et bacs à ordures, on ne peut pas les éviter», rétorque un autre Casablancais. « J'ai utilisé plusieurs produits anti-cafards liquides, en poudre ou pommade en vain. Les cafards sont de plus en plus résistants, en outre ils vivent dans les égouts et c'est à la ville de trouver une solution à ce problème », déplore un habitant de l'avenue 2 Mars. En effet, il existe bel et bien une division d'hygiène pour lutter contre ce genre de cohabitation hideux. Etant donné la nature du travail de cette unité qui dépend du Conseil de la ville, des équipes de désinfection et de dératisation sont toujours présentes au service des citoyens afin d'intervenir en cas d'une invasion massive de bestioles. Ils travaillent en général en collaboration avec un gestionnaire délégué et les sociétés de nettoyage. «En cas de problème, les citoyens casablancais peuvent avoir recours au service d'hygiène de leur arrondissement via un appel téléphonique ou une réclamation, affirme un responsable communal.
Ce dernier prendra en charge la désinsectisation des bâtiments envahis par les insectes, cafards ou rats». En cas d'opération d'envergure, «le bureau central d'hygiène intervient pour donner un coup de main aux bureaux municipaux», apprend-on de même source. Ces opérations se font selon les moyens disponibles aux bureaux d'hygiène. Il est à noter que le bureau principal s'occupe surtout de l'hygiène des grandes surfaces et administrations telles que le marché de gros, les abattoirs, les parcs et les administrations publiques. Les services de désinsectisation et de dératisation privés sont aussi au service des citoyens. Par ailleurs, les sociétés délégataires de la collecte des déchets ménagers peuvent intervenir pour dégager des déchets qui favorisent la propagation des cafards mais aussi des rats. Ces entreprises peuvent ainsi venir au secours des citoyens casablancais contre les bestioles qui envahissent la métropole. Pour avoir leur aide, il suffit de remplir un formulaire de réclamation ou de leur fournir le nom, l'adresse et le numéro de téléphone du plaignant. Dans des conditions normales, le citoyen doit attendre une semaine pour avoir l'intervention des équipes spécialisées. Cependant, le délai de réponse n'est jamais assuré.
Les insectes porteurs de bactéries
Les cafards font partie de l'ordre des orthoptères. Appelés aussi blattes ou cancrelats, ils s'installent là ou ils trouvent chaleur, nourriture, humidité et abri. Leur mauvaise odeur, leur habitude à traîner sur la nourriture et de la souiller les rendent indésirables. Ils sont particulièrement attirés par la viande, les produits laitiers, les aliments sucrés et amylacés (amidon), mais ils s'accommodent aussi de légumes, fruits, cuir, tissus, cartons, insectes morts ou vivants, terreau, aliments pour animaux, graisses diverses, cheveux et papier surtout celui enduit de pâte ou de colle. Non seulement, ils mangent nos aliments, mais ils les souillent de leurs excréments et d'une sécrétion malodorante.La vaisselle ainsi souillée peut altérer le goût des aliments chauds. Les cafards pénètrent dans les bâtiments et habitations soit en volant, soit par les fentes mêmes étroites (1,5mm suffit pour une blatte adulte) ou de petites ouvertures. Les blattes circulent aisément par les gaines techniques et les colonnes de vide-ordures qui relient les appartements. Elles s'introduisent également sous la porte d'entrée, par la fenêtre, au travers des bouches d'aération. Une seule femelle ou même une seule capsule d'œufs cachée dans un emballage suffit pour infester tout un édifice. Il convient de se méfier de ces insectes qui peuvent être porteurs de maladies. De nombreux ouvrages font état de toute une série d'agents pathogènes présents dans leur organisme ou sur eux et dans leurs matières fécales. Il existe plusieurs études récentes sur les allergies aux blattes, en particulier celles germaniques et américaines. Plusieurs personnes, par exemple, ont la diarrhée, sans même se douter que c'est à cause des cafards. En réalité, les blattes peuvent transporter 4 lignées du virus de la poliomyélite, en plus de 40 espèces de bactéries pathogènes, si elle les a rencontrées en chemin.
