«Je crois que cette date est très accessible, vu que l'essentiel des travaux a été fait. Nous sommes maintenant dans la phase terminale pour livrer le projet», a-t-il déclaré lors de la cérémonie de lancement de l'opération de promotion du nouveau jardin zoologique, mercredi 29 juin à Rabat.
Déjà, l'on sait grosso modo à quoi ressemblera le zoo qui drainerait, espère-t-on, quelque 3.000 visiteurs par jour et plus d'un million par an. Construit sur une superficie totale de 50 hectares, à mi-chemin entre Rabat et Témara, le site entouré d'une ceinture verte est composé d'un zoo du jour occupant une superficie de 25 hectares, d'un safari de nuit, réservés aux animaux ayant une vie nocturne, d'une clinique vétérinaire et d'une zone d'horticulture. À l'intérieur du zoo du jour, plusieurs espaces thématiques sont aménagés, où les visiteurs peuvent admirer in situ toute la richesse et la diversité de la faune marocaine, saharienne et africaine : désert et montagnes de l'Atlas, savane africaine, marécages et forêt tropicale. Pour le moment, il n'y a aucune trace d'animal dans les lieux. «Pratiquement, toute la collection d'animaux prévue est disponible.
Mais sur le plan technique, le zoo ne sera prêt à recevoir des animaux qu'au mois de juillet», explique M. El Hafi. A la différence de l'ancien zoo de Témara, celui de Rabat sera bien plus qu'une ménagerie d'animaux. Ce sera, d'après la configuration actuelle, une zone d'attraction en bonne et due forme, dotée d'espaces de divertissement, de loisirs et d'activités ludo-éducatives. À l'entrée et avant de commencer le périple, les visiteurs sont reçus dans un village d'accueil, une sorte de porte d'entrée proposant divers services. Le village d'accueil comporte quatre restaurants-cafés et un magasin d'articles de souvenirs ayant vue sur l'exposition des animaux et sur la ferme pédagogique. Au fur et à mesure qu'on avance à l'intérieur du zoo, on retrouve plus d'aires de repos : cinq kiosques de vente de rafraîchissants et de confiseries et trois restaurants répartis sur les espaces thématiques et dont le design est soigneusement adapté au milieu. Enfin, une salle de conférences, aménagée tout à côté, est réservée aux activités de sensibilisation et d'éducation à l'environnement et destinée au grand public. Ainsi conçu, le Jardin zoologique de Rabat ambitionne d'être un point d'attraction incontournable dans la région. Une ambition largement justifiée vu l'originalité de son concept. «Jamais le Maroc ne s'est doté d'un zoo pareil conforme aux standards internationaux. Il va certainement drainer beaucoup de monde, du moment qu'il n'y a aucune concurrence sur ce créneau spécifique au niveau national», estime le haut commissaire aux Eaux et Forêts.
En ce qui concerne les prix, les initiateurs du projet ont opté pour un système de tarification prenant en compte le nombre et le type de visiteurs, mais aussi l'heure de la visite (pendant la journée ou dans la soirée).
Ainsi, le prix du ticket d'entrée est fixé à 50 dirhams pour les adultes, à 25 dirhams pour les enfants (ceux en dessous de 2 ans sont dispensés) et à 150 dirhams pour les familles. Par ailleurs, des tarifs particuliers sont proposés aux groupes scolaires. L'objectif selon Abdeladim El Hafi est de «démocratiser l'accès au zoo, tout en préservant un équilibre de manière à ce que l'affluence ne dépasse pas la capacité d'accueil qui demeure limitée».
En ce qui concerne la population ciblée, la société anonyme du Jardin zoologique de Rabat ratisse large : on compte atteindre 10% de la population riveraine. Cela ne relève pas de l'utopie, selon Imane Benyaich, directrice du Centre d'investissement régional de Rabat-Salé-Zemmour-Zaers, principal partenaire du projet. Cet objectif reste réaliste et atteignable dans la mesure où le zoo «bénéficie d'un emplacement stratégique au centre de l'agglomération de Rabat-Salé-Témara et se trouve à proximité de 300.000 personnes qui habitent tout autour».
Outre la population riveraine, qui constitue le cœur de cible du projet, on vise à attirer une population plus lointaine vivant à près de 200 kilomètres de Rabat-Salé : il s'agit d'Al Jadida, Meknès et bien d'autres villes. Ce qui doit conférer au zoo une réputation nationale. Les touristes sont eux aussi dans le collimateur et peuvent, en faisant le tour du Jardin zoologique national, découvrir les espèces vedettes de la faune et de la flore de l'Afrique en général et du Maroc tout particulièrement.
Déjà, l'on sait grosso modo à quoi ressemblera le zoo qui drainerait, espère-t-on, quelque 3.000 visiteurs par jour et plus d'un million par an. Construit sur une superficie totale de 50 hectares, à mi-chemin entre Rabat et Témara, le site entouré d'une ceinture verte est composé d'un zoo du jour occupant une superficie de 25 hectares, d'un safari de nuit, réservés aux animaux ayant une vie nocturne, d'une clinique vétérinaire et d'une zone d'horticulture. À l'intérieur du zoo du jour, plusieurs espaces thématiques sont aménagés, où les visiteurs peuvent admirer in situ toute la richesse et la diversité de la faune marocaine, saharienne et africaine : désert et montagnes de l'Atlas, savane africaine, marécages et forêt tropicale. Pour le moment, il n'y a aucune trace d'animal dans les lieux. «Pratiquement, toute la collection d'animaux prévue est disponible.
Mais sur le plan technique, le zoo ne sera prêt à recevoir des animaux qu'au mois de juillet», explique M. El Hafi. A la différence de l'ancien zoo de Témara, celui de Rabat sera bien plus qu'une ménagerie d'animaux. Ce sera, d'après la configuration actuelle, une zone d'attraction en bonne et due forme, dotée d'espaces de divertissement, de loisirs et d'activités ludo-éducatives. À l'entrée et avant de commencer le périple, les visiteurs sont reçus dans un village d'accueil, une sorte de porte d'entrée proposant divers services. Le village d'accueil comporte quatre restaurants-cafés et un magasin d'articles de souvenirs ayant vue sur l'exposition des animaux et sur la ferme pédagogique. Au fur et à mesure qu'on avance à l'intérieur du zoo, on retrouve plus d'aires de repos : cinq kiosques de vente de rafraîchissants et de confiseries et trois restaurants répartis sur les espaces thématiques et dont le design est soigneusement adapté au milieu. Enfin, une salle de conférences, aménagée tout à côté, est réservée aux activités de sensibilisation et d'éducation à l'environnement et destinée au grand public. Ainsi conçu, le Jardin zoologique de Rabat ambitionne d'être un point d'attraction incontournable dans la région. Une ambition largement justifiée vu l'originalité de son concept. «Jamais le Maroc ne s'est doté d'un zoo pareil conforme aux standards internationaux. Il va certainement drainer beaucoup de monde, du moment qu'il n'y a aucune concurrence sur ce créneau spécifique au niveau national», estime le haut commissaire aux Eaux et Forêts.
En ce qui concerne les prix, les initiateurs du projet ont opté pour un système de tarification prenant en compte le nombre et le type de visiteurs, mais aussi l'heure de la visite (pendant la journée ou dans la soirée).
Ainsi, le prix du ticket d'entrée est fixé à 50 dirhams pour les adultes, à 25 dirhams pour les enfants (ceux en dessous de 2 ans sont dispensés) et à 150 dirhams pour les familles. Par ailleurs, des tarifs particuliers sont proposés aux groupes scolaires. L'objectif selon Abdeladim El Hafi est de «démocratiser l'accès au zoo, tout en préservant un équilibre de manière à ce que l'affluence ne dépasse pas la capacité d'accueil qui demeure limitée».
En ce qui concerne la population ciblée, la société anonyme du Jardin zoologique de Rabat ratisse large : on compte atteindre 10% de la population riveraine. Cela ne relève pas de l'utopie, selon Imane Benyaich, directrice du Centre d'investissement régional de Rabat-Salé-Zemmour-Zaers, principal partenaire du projet. Cet objectif reste réaliste et atteignable dans la mesure où le zoo «bénéficie d'un emplacement stratégique au centre de l'agglomération de Rabat-Salé-Témara et se trouve à proximité de 300.000 personnes qui habitent tout autour».
Outre la population riveraine, qui constitue le cœur de cible du projet, on vise à attirer une population plus lointaine vivant à près de 200 kilomètres de Rabat-Salé : il s'agit d'Al Jadida, Meknès et bien d'autres villes. Ce qui doit conférer au zoo une réputation nationale. Les touristes sont eux aussi dans le collimateur et peuvent, en faisant le tour du Jardin zoologique national, découvrir les espèces vedettes de la faune et de la flore de l'Afrique en général et du Maroc tout particulièrement.
