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L'Afrique du Sud, L'Erythrée et l'Algérie n'ont qualifié qu'un seul coureur. Une preuve, s'il en faut, de la politique réaliste prônée par les responsables de la FRMC tout au long d'une saison parsemée de résultats probants.
Les performances historiques des coureurs marocains ne sont pas le fruit d'un quelconque hasard. Elles sont le résultat d'une politique générale fondée sur la stratégie globale élaborée, à l'avance, par le ministère de la Jeunesse et des Sports et le Comité national olympique. Cette stratégie puise son essence de la Lettre Royale adressée aux assises de Skhirate le 24 octobre 2008.
Dès son investiture en 2008, le bureau fédéral a élaboré cette stratégie qui met la qualification de l'équipe nationale aux JO de Londres au centre de ses intérêts pour une discipline qu'est le cyclisme. Le vélo national constitue la vitrine du pays et s'est érigé en véritable locomotive pour tirer le sport national ver le haut. Le cyclisme national ne fut-il pas le premier à entrer de plain-pied dans le monde du professionnalisme ?
Aujourd'hui, on peut avancer, sans risque de se tromper, que cette stratégie a été concluante et les résultats sont là pour donner raison à ses concepteurs. Le Maroc trône depuis, deux ans, à la tête de la hiérarchie arabo-africaine tant en individuel que par équipe. Le tour du Maroc a redoré son blason par le maillot jaune de la 24e édition qui a été remportée par Mohcine Lahsaïni. L'ex-Khouribgui a signé un exploit qui n'a pas été renouvelé depuis… 45 ans !
La liste des réalisations de la Fédération royale marocaine de cyclisme n'est pas exhaustive et tout le succès et l'honneur n'auraient pas été, toutefois, possibles sans le soutien inconditionnel du ministère de la Jeunesse et des Sports, du Comité national olympique marocain, des médias, du ministère de l'Intérieur, via les autorités locales des Wilayas, préfectures et provinces, de la Gendarmerie Royale, la Sureté nationale, de la protection civile, des Forces auxiliaires…
à travers tout le Royaume.
Les jours à venir devront connaître la poursuite de la mise à niveau du cyclisme national à travers la restructuration des ligues, des clubs, la construction de l'infrastructure de formation, le développement du vélo masculin et féminin, la prospection des ressources financières et une professionnalisation plus avancée et plus élargie de cette discipline populaire.
Aujourd'hui, il reste aux coureurs nationaux de donner la pleine mesure de leur talent aux prochains jeux d'été de Londres. Ça ne sera pas facile mais l'essentiel n'est-il pas la participation ? Car l'adversité au vélo ne sera pas une partie de thé.
Les performances historiques des coureurs marocains ne sont pas le fruit d'un quelconque hasard. Elles sont le résultat d'une politique générale fondée sur la stratégie globale élaborée, à l'avance, par le ministère de la Jeunesse et des Sports et le Comité national olympique. Cette stratégie puise son essence de la Lettre Royale adressée aux assises de Skhirate le 24 octobre 2008.
Dès son investiture en 2008, le bureau fédéral a élaboré cette stratégie qui met la qualification de l'équipe nationale aux JO de Londres au centre de ses intérêts pour une discipline qu'est le cyclisme. Le vélo national constitue la vitrine du pays et s'est érigé en véritable locomotive pour tirer le sport national ver le haut. Le cyclisme national ne fut-il pas le premier à entrer de plain-pied dans le monde du professionnalisme ?
Aujourd'hui, on peut avancer, sans risque de se tromper, que cette stratégie a été concluante et les résultats sont là pour donner raison à ses concepteurs. Le Maroc trône depuis, deux ans, à la tête de la hiérarchie arabo-africaine tant en individuel que par équipe. Le tour du Maroc a redoré son blason par le maillot jaune de la 24e édition qui a été remportée par Mohcine Lahsaïni. L'ex-Khouribgui a signé un exploit qui n'a pas été renouvelé depuis… 45 ans !
La liste des réalisations de la Fédération royale marocaine de cyclisme n'est pas exhaustive et tout le succès et l'honneur n'auraient pas été, toutefois, possibles sans le soutien inconditionnel du ministère de la Jeunesse et des Sports, du Comité national olympique marocain, des médias, du ministère de l'Intérieur, via les autorités locales des Wilayas, préfectures et provinces, de la Gendarmerie Royale, la Sureté nationale, de la protection civile, des Forces auxiliaires…
à travers tout le Royaume.
Les jours à venir devront connaître la poursuite de la mise à niveau du cyclisme national à travers la restructuration des ligues, des clubs, la construction de l'infrastructure de formation, le développement du vélo masculin et féminin, la prospection des ressources financières et une professionnalisation plus avancée et plus élargie de cette discipline populaire.
Quatre sur sept
La sélection nationale va présenter 4 coureur pour sept 7 places pour les prochains JO de Londres. Les sept places de l'Afrique étaient, tout au long de ces deux saisons, l'objet d'une lutte serrée et sans merci, entre l'Afrique du Sud, grand favori avec son système professionnel, l'Erythrée, ayant dans ses rangs le meilleur coureur du Championnat d'Afrique, Daniel Teklehaymanot, vivant en Europe. L'Algérie est venue s'intercaler cette année, grâce à un coureur talentueux. Elle a commencé à rêver par le biais d'Azzedine Lagab. En dépit de tout cela, le Maroc, fort d'une armada de coureurs talentueux emmenés par Adil Jelloul, n'a pas lâché prise et en a tiré 4 billets (3 en ligne et 1 en contre la montre). Les Marocains ont, donc, annoncé la couleur par une victoire au Tour du Maroc et des participations honorables dans les championnats du monde où l'adversité est impitoyable.Aujourd'hui, il reste aux coureurs nationaux de donner la pleine mesure de leur talent aux prochains jeux d'été de Londres. Ça ne sera pas facile mais l'essentiel n'est-il pas la participation ? Car l'adversité au vélo ne sera pas une partie de thé.
