«L'idée de créer le Prix Littérature de la Mamounia est venue suite à une longue discussion que nous avons eue en compagnie du journaliste-animateur Guillaume Durant. C'était à vrai dire cela qui a motivé la mise en place de ce Prix. D'autant plus que cet établissement est connu pour sa grande bibliothèque. C'est plus une institution qu'un hôtel. De ce fait, on s'est mis en tête de faire parler de la littérature marocaine francophone, sachant très bien que la culture de la lecture n'est pas très développée. Donc, pourquoi ne pas contribuer à remédier à cela en créant un événement où nos écrivains marocains seront à l'honneur. C'est aussi une opportunité, pour nous, pour mettre en exergue le côté mécène de l'établissement », souligne Jalila El Ofir, directrice de la Communication et organisatrice de l'événement.
Elle ajoute que le choix de la langue française s'est imposé de lui-même. «Comme Guillaume Durant est français, on a opté pour la littérature francophone dans le but de consacrer nos écrivains marocains à travers leurs œuvres. Le premier travail consiste à choisir les dix livres à présenter. Donc, je me renseigne sur les nouvelles sorties. Pour cette année, c'était des éditions à partir de septembre 2010. Pour ne pas se limiter aux librairies sur le marché, j'ai lancé des annonces sur facebook, dans les médias (Radios, TV et presse écrite) pour dire que c'est une compétition qui s'adresse à tout le monde, même aux jeunes. Parce que mon souhait est aussi de mettre en exergue de jeunes talents qui peuvent être motivés grâce à ce Prix. C'est une idée qui me tient vraiment à cœur. En rassemblant le maximum d'ouvrages, la première étape de l'événement commence ».
Ainsi, un comité de lecture se charge du premier défrichage. Il est composé de Didier Picquot (directeur général de la Mamounia), Denys Courtier (directeur exécutif) et Jalila El Ofir (directrice de la communication, chargée de l'organisation et de la sélection des œuvres). Après plusieurs réunions, ce même comité retient les dix ouvrages à mettre en compétition. «Ces livres sont soumis au jury, dont les membres sont constitués de plusieurs nationalités », explique Mme El Ofir. Pour cette édition, le Prix Littérature de la Mamounia privilégie un jury compétent, dont quelques membres figuraient déjà dans l'édition précédente. Présidé, pour la deuxième année, par Guillaume Durand (France), le jury est donc composé de la romancière Christine Orban (France), l'essayiste et journaliste Denise Bombardier (Québec), le critique littéraire Jacques De Decker (Belgique), la fondatrice des Éditions Le Fennec, Layla Chaouni (Maroc), le professeur de littérature Khalid Zekri (Maroc), l'écrivain Marc Dugain (France), le plasticien et écrivain Mahi Binebine (Maroc), la femme de lettres et écrivaine Mouna Hachim (Maroc), puis le chercheur, professeur d'économie et écrivain Tidiane N'diaye (Sénégal). «En faisant appel à un jury qui possède du poids dans l'univers culturel, nous estimons valoriser notre Prix et lui donner l'importance qu'il mérite. La première année a été pour nous une belle expérience qui a eu beaucoup d'impact sur le plan médiatique national et étranger. Nous estimons continuer sur la même voie, car notre but est de valoriser notre littérature francophone marocaine et d'encourager à la lecture», renchérit Jalila El Ofir.
Elle ajoute que le choix de la langue française s'est imposé de lui-même. «Comme Guillaume Durant est français, on a opté pour la littérature francophone dans le but de consacrer nos écrivains marocains à travers leurs œuvres. Le premier travail consiste à choisir les dix livres à présenter. Donc, je me renseigne sur les nouvelles sorties. Pour cette année, c'était des éditions à partir de septembre 2010. Pour ne pas se limiter aux librairies sur le marché, j'ai lancé des annonces sur facebook, dans les médias (Radios, TV et presse écrite) pour dire que c'est une compétition qui s'adresse à tout le monde, même aux jeunes. Parce que mon souhait est aussi de mettre en exergue de jeunes talents qui peuvent être motivés grâce à ce Prix. C'est une idée qui me tient vraiment à cœur. En rassemblant le maximum d'ouvrages, la première étape de l'événement commence ».
Ainsi, un comité de lecture se charge du premier défrichage. Il est composé de Didier Picquot (directeur général de la Mamounia), Denys Courtier (directeur exécutif) et Jalila El Ofir (directrice de la communication, chargée de l'organisation et de la sélection des œuvres). Après plusieurs réunions, ce même comité retient les dix ouvrages à mettre en compétition. «Ces livres sont soumis au jury, dont les membres sont constitués de plusieurs nationalités », explique Mme El Ofir. Pour cette édition, le Prix Littérature de la Mamounia privilégie un jury compétent, dont quelques membres figuraient déjà dans l'édition précédente. Présidé, pour la deuxième année, par Guillaume Durand (France), le jury est donc composé de la romancière Christine Orban (France), l'essayiste et journaliste Denise Bombardier (Québec), le critique littéraire Jacques De Decker (Belgique), la fondatrice des Éditions Le Fennec, Layla Chaouni (Maroc), le professeur de littérature Khalid Zekri (Maroc), l'écrivain Marc Dugain (France), le plasticien et écrivain Mahi Binebine (Maroc), la femme de lettres et écrivaine Mouna Hachim (Maroc), puis le chercheur, professeur d'économie et écrivain Tidiane N'diaye (Sénégal). «En faisant appel à un jury qui possède du poids dans l'univers culturel, nous estimons valoriser notre Prix et lui donner l'importance qu'il mérite. La première année a été pour nous une belle expérience qui a eu beaucoup d'impact sur le plan médiatique national et étranger. Nous estimons continuer sur la même voie, car notre but est de valoriser notre littérature francophone marocaine et d'encourager à la lecture», renchérit Jalila El Ofir.
