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L'éternuement est un mécanisme de défense permettant de nettoyer le nez de ses impuretés en les expulsant et en évitant ainsi qu'elles passent dans les poumons. Ce sont des neurones sensitifs, excités par les impuretés, qui déclenchent le réflexe d'éternuement.
Les éternuements à répétition quant à eux, sont désignés par le terme sternutation. Chez l'homme, le mucus produit dans les poumons contribue à protéger le système respiratoire en captant et exportant nombre des particules étrangères qui entrent dans le nez ou la bouche à chaque inspiration. Le mucus, liquide clair et visqueux, composé de glycoprotéines, de lactoferrine et d'autres composés antimicrobiens, est formé par les cellules muqueuses dispersées au sein des épithéliums. Le mucus prévient l'assèchement des tissus. Il facilite le transit des aliments dans l'œsophage et empêche les sucs gastriques de dissoudre les parois de l'estomac.
La manifestation la plus évidente du mucus est le mucus nasal, très liquide lors des rhumes, qui sort du nez lorsque l'on se mouche ou que l'on éternue. Il entraîne avec lui, poussière et microbes vers la gorge grâce aux cils vibratiles. Les excréments sont également couverts d'une fine couche de mucus lubrifiant produit par l'intestin. Dans certaines circonstances pathologiques, en particulier lors de l'amibiase intestinale, les selles deviennent franchement muqueuses et sont désignées sous le terme de crachat rectal. Elles peuvent parfois laisser présumer certaines pathologies: un mucus transparent et liquide est synonyme d'une inflammation sans infection (allergie, asthme).
Un mucus très liquide est facilement nébulisé en fines gouttelettes lors de l'éternuement. Il devient alors un vecteur de contagion direct. Un mucus jaune est souvent révélateur d'infection. Un mucus vert est synonyme d'infection plus purulente. Un mucus rougeâtre évoque une hémorragie (présence de sang).
Les éternuements à répétition quant à eux, sont désignés par le terme sternutation. Chez l'homme, le mucus produit dans les poumons contribue à protéger le système respiratoire en captant et exportant nombre des particules étrangères qui entrent dans le nez ou la bouche à chaque inspiration. Le mucus, liquide clair et visqueux, composé de glycoprotéines, de lactoferrine et d'autres composés antimicrobiens, est formé par les cellules muqueuses dispersées au sein des épithéliums. Le mucus prévient l'assèchement des tissus. Il facilite le transit des aliments dans l'œsophage et empêche les sucs gastriques de dissoudre les parois de l'estomac.
La manifestation la plus évidente du mucus est le mucus nasal, très liquide lors des rhumes, qui sort du nez lorsque l'on se mouche ou que l'on éternue. Il entraîne avec lui, poussière et microbes vers la gorge grâce aux cils vibratiles. Les excréments sont également couverts d'une fine couche de mucus lubrifiant produit par l'intestin. Dans certaines circonstances pathologiques, en particulier lors de l'amibiase intestinale, les selles deviennent franchement muqueuses et sont désignées sous le terme de crachat rectal. Elles peuvent parfois laisser présumer certaines pathologies: un mucus transparent et liquide est synonyme d'une inflammation sans infection (allergie, asthme).
Un mucus très liquide est facilement nébulisé en fines gouttelettes lors de l'éternuement. Il devient alors un vecteur de contagion direct. Un mucus jaune est souvent révélateur d'infection. Un mucus vert est synonyme d'infection plus purulente. Un mucus rougeâtre évoque une hémorragie (présence de sang).
