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Vingt-cinq artistes sont à l'affiche de cette manifestation culturelle qui ne cesse de prendre de l'ampleur d'année en année.
En effet, le comité d'organisation, présidé par Mehdi Zouak, ne ménage aucun effort pour amener de grosses pointures connues pour leur virtuosité dans le luth. Cet instrument noble qui fait le bonheur de beaucoup de mélomanes.
«C'est un festival qui a, en effet, évolué avec le temps. Il est passé par deux étapes essentielles dans son parcours. La première s'est étalée de 1999 jusqu'à 2007. L'événement a été organisé par une cellule centrale du ministère de la Culture qui s'occupait du Festival. Après cette date, l'organisation fut confiée à la direction régionale, afin d'intégrer le festival dans le cadre local de la ville de Tétouan. Le festival a, aussi, progressé dans le contexte de son espace, puisqu'il s'est déplacé de la Maison de la culture à la scène splendide du Théâtre espagnol où il peut recevoir plus de public mélomane», souligne le président du Festival, Mehdi Zouak.
Huit pays sont invités à participer à cette 13e édition, notamment la Tunisie, la Jordanie, la Palestine, l'Iran, la Turquie, l'Espagne, la Hollande, la Norvège et, bien sûr, le pays hôte, le Maroc. A la tête de la pléiade d'artistes présents, la star de la Tunisie Lotfi Bouchnak qui se produira en clôture du Festival.
Ce chanteur, luthiste et compositeur, dont le charisme et les capacités vocales ne manquent pas de fasciner les foules est, de surcroît, un grand virtuose du Oud. Cet artiste très réputé ne cesse de conquérir d'autres publics grâce à sa forte présence sur scène et son dévouement sans limite pour son art.
Dans le seul souci de présenter un produit de qualité avec une meilleure logistique (sono, éclairage et gestion de la scène), le festival a invité le célèbre concertiste marocain Driss El Maloumi, le quatuor Rohana Nizar (Palestine/Jordanie), l'ensemble Zejel (Maroc / Espagne), l'ensemble Léon l'Africain (Maroc/Jordanie/Palestine), le groupe Ahddaf (Maroc/ Turquie/Pays-Bas), puis l'artiste Majid Nazempour (Iran).
Un hommage bien particulier sera rendu au chanteur et musicien Mohamed Rouicha, le maître de Loutar (instrument spécifique marocain de la famille de l'Oud).
«En dehors de la programmation musicale, le Festival de luth a évolué, ces dernières années, vers d'autres prestations et réalisations, notamment la cérémonie d'hommage qu'on organise pour la troisième fois, constituant pour cette manifestation la cerise sur le gâteau.», affirme le président du Festival en ajoutant par ailleurs : «Nous avons fait le choix, pour cette édition, sur le maître incontestable de Loutar, Mohamed Rouicha, dont la virtuosité n'est plus à discuter. Nous avons pensé, également, depuis quelques années, à immortaliser les meilleurs moments des prestations musicales par l'enregistrement d'un CD que nous considérons beaucoup plus comme un acquis culturel que commercial. Un autre point tout aussi important est celui de l'organisation de Master class avec les élèves du conservatoire de musique de Tétouan. C'est une aubaine pour ces étudiants de rencontrer des virtuoses venus d'autres pays et de pouvoir abreuver de leur savoir».
Tout un programme diversifié qui est concrétisé avec un budget très restreint de l'ordre de 900 mille dirhams, dont la majorité est octroyée par le ministère de la Culture. «C'est un budget très moyen pour organiser un festival de cette envergure, car nous aspirons à plus d'ouverture et de moyens logistiques. C'est pour cela que nous envisageons de passer à une autre phase. Celle de l'indépendance de cet événement, en créant une institution qui puisse s'occuper du festival et lui favoriser le cadre qu'il mérite. Dans ce cas, les sponsors peuvent facilement aller avec nous», explique Mehdi Zouak.
En attendant que cette option se concrétise, le public aura le plaisir de savourer de beaux concerts avec les artistes de renom sollicités pour cette 13e édition.
Des luthistes virtuoses du monde entier se sont, ainsi, produits successivement sur la scène de la Maison de la Culture de Tétouan, puis celle du Théâtre espagnol, apportant par la même leur brin de créativité et de savoir-faire à travers ce noble instrument dont la réputation a dépassé toutes les frontières, faisant adhérer un public des plus fins qu'il soit connaisseur ou un simple amateur.
Depuis sa création, cet événement artistique et culturel a vu défiler environ trente-six nationalités de musiciens et musiciennes de qualité qui ont subjugué le public de Tétouan par des créations très raffinées où le luth est passé maître dans chacune des prestations.
En effet, le comité d'organisation, présidé par Mehdi Zouak, ne ménage aucun effort pour amener de grosses pointures connues pour leur virtuosité dans le luth. Cet instrument noble qui fait le bonheur de beaucoup de mélomanes.
«C'est un festival qui a, en effet, évolué avec le temps. Il est passé par deux étapes essentielles dans son parcours. La première s'est étalée de 1999 jusqu'à 2007. L'événement a été organisé par une cellule centrale du ministère de la Culture qui s'occupait du Festival. Après cette date, l'organisation fut confiée à la direction régionale, afin d'intégrer le festival dans le cadre local de la ville de Tétouan. Le festival a, aussi, progressé dans le contexte de son espace, puisqu'il s'est déplacé de la Maison de la culture à la scène splendide du Théâtre espagnol où il peut recevoir plus de public mélomane», souligne le président du Festival, Mehdi Zouak.
Huit pays sont invités à participer à cette 13e édition, notamment la Tunisie, la Jordanie, la Palestine, l'Iran, la Turquie, l'Espagne, la Hollande, la Norvège et, bien sûr, le pays hôte, le Maroc. A la tête de la pléiade d'artistes présents, la star de la Tunisie Lotfi Bouchnak qui se produira en clôture du Festival.
Ce chanteur, luthiste et compositeur, dont le charisme et les capacités vocales ne manquent pas de fasciner les foules est, de surcroît, un grand virtuose du Oud. Cet artiste très réputé ne cesse de conquérir d'autres publics grâce à sa forte présence sur scène et son dévouement sans limite pour son art.
Dans le seul souci de présenter un produit de qualité avec une meilleure logistique (sono, éclairage et gestion de la scène), le festival a invité le célèbre concertiste marocain Driss El Maloumi, le quatuor Rohana Nizar (Palestine/Jordanie), l'ensemble Zejel (Maroc / Espagne), l'ensemble Léon l'Africain (Maroc/Jordanie/Palestine), le groupe Ahddaf (Maroc/ Turquie/Pays-Bas), puis l'artiste Majid Nazempour (Iran).
Un hommage bien particulier sera rendu au chanteur et musicien Mohamed Rouicha, le maître de Loutar (instrument spécifique marocain de la famille de l'Oud).
«En dehors de la programmation musicale, le Festival de luth a évolué, ces dernières années, vers d'autres prestations et réalisations, notamment la cérémonie d'hommage qu'on organise pour la troisième fois, constituant pour cette manifestation la cerise sur le gâteau.», affirme le président du Festival en ajoutant par ailleurs : «Nous avons fait le choix, pour cette édition, sur le maître incontestable de Loutar, Mohamed Rouicha, dont la virtuosité n'est plus à discuter. Nous avons pensé, également, depuis quelques années, à immortaliser les meilleurs moments des prestations musicales par l'enregistrement d'un CD que nous considérons beaucoup plus comme un acquis culturel que commercial. Un autre point tout aussi important est celui de l'organisation de Master class avec les élèves du conservatoire de musique de Tétouan. C'est une aubaine pour ces étudiants de rencontrer des virtuoses venus d'autres pays et de pouvoir abreuver de leur savoir».
Tout un programme diversifié qui est concrétisé avec un budget très restreint de l'ordre de 900 mille dirhams, dont la majorité est octroyée par le ministère de la Culture. «C'est un budget très moyen pour organiser un festival de cette envergure, car nous aspirons à plus d'ouverture et de moyens logistiques. C'est pour cela que nous envisageons de passer à une autre phase. Celle de l'indépendance de cet événement, en créant une institution qui puisse s'occuper du festival et lui favoriser le cadre qu'il mérite. Dans ce cas, les sponsors peuvent facilement aller avec nous», explique Mehdi Zouak.
En attendant que cette option se concrétise, le public aura le plaisir de savourer de beaux concerts avec les artistes de renom sollicités pour cette 13e édition.
Une tradition annuelle
Le Festival international de luth de Tétouan a pu acquérir, tout au long des douze éditions précédentes, ses lettres de noblesses, grâce aux efforts de son équipe organisatrice qui fait appel à des instrumentistes talentueux et de renom.Des luthistes virtuoses du monde entier se sont, ainsi, produits successivement sur la scène de la Maison de la Culture de Tétouan, puis celle du Théâtre espagnol, apportant par la même leur brin de créativité et de savoir-faire à travers ce noble instrument dont la réputation a dépassé toutes les frontières, faisant adhérer un public des plus fins qu'il soit connaisseur ou un simple amateur.
Depuis sa création, cet événement artistique et culturel a vu défiler environ trente-six nationalités de musiciens et musiciennes de qualité qui ont subjugué le public de Tétouan par des créations très raffinées où le luth est passé maître dans chacune des prestations.
