Cet important recueil « Cœurs Absents » est préfacé par le grand poète romancier et nouvelliste belge, dont la couverture est illustrée par une toile du regretté peintre tétouanais, Mohamed Drissi dont une des plus grandes salles d'exposition de Tanger porte son nom comme hommage de tous les intellectuels du Nord du Royaume.
Dans "Cœurs absents", l'auteur nous désigne comme titre "des cœurs humains desséchés de tous sentiments et réduits au silence dans le monde d'aujourd'hui". En quatrième de la couverture, Jean Botquin, pense avec son cœur et dit du poète : "L'encre de Mohamed El Jerroudi est brûlante, elle dessine des mots, fait danser l'âme, raconte 'comment le temps nous dévore et nous déshabille devant la mort', mais aussi, avant l'inéluctable, célèbre la vie et la beauté." (p.7).
Composé de 33 poèmes tous animés de la même sève orale - scripturaire et d'une écriture limpide aux métaphores suggestives, d'un éclat presque surréaliste, ils évoquent des thèmes intimes comme l'aube, le sel de la vie, les temps révolus, le chant de la douleur, la poésie comme écriture, les légendes, le cœur absent, le silence, etc.
"Je veux restituer chaque page/ au livre écrit/ dans toutes les langues/ de la terre", clame El Jerroudi (Voix intérieure, p.14); ou encore : "Tu as tous les rivages du monde/ pour accoster un jour/ au cœur de ton pays natal", avise – t – il un peu plus loin (Cœurs absents, p. 44). Avec ce nouveau recueil, Mohamed El Jerroudi a voulu ancrer son parcours littéraire au passé et en particulier sa ville natale, son entourage et tout ce qui concerne son rapport avec la terre et le terroir. Mohamed El Jerroudi a réussi plusieurs ouvrages et surtout le côté poétique qu'il considère comme une continuité avec les arts, la vie et tout ce qui est beau dans la vie..
Dans "Cœurs absents", l'auteur nous désigne comme titre "des cœurs humains desséchés de tous sentiments et réduits au silence dans le monde d'aujourd'hui". En quatrième de la couverture, Jean Botquin, pense avec son cœur et dit du poète : "L'encre de Mohamed El Jerroudi est brûlante, elle dessine des mots, fait danser l'âme, raconte 'comment le temps nous dévore et nous déshabille devant la mort', mais aussi, avant l'inéluctable, célèbre la vie et la beauté." (p.7).
Composé de 33 poèmes tous animés de la même sève orale - scripturaire et d'une écriture limpide aux métaphores suggestives, d'un éclat presque surréaliste, ils évoquent des thèmes intimes comme l'aube, le sel de la vie, les temps révolus, le chant de la douleur, la poésie comme écriture, les légendes, le cœur absent, le silence, etc.
"Je veux restituer chaque page/ au livre écrit/ dans toutes les langues/ de la terre", clame El Jerroudi (Voix intérieure, p.14); ou encore : "Tu as tous les rivages du monde/ pour accoster un jour/ au cœur de ton pays natal", avise – t – il un peu plus loin (Cœurs absents, p. 44). Avec ce nouveau recueil, Mohamed El Jerroudi a voulu ancrer son parcours littéraire au passé et en particulier sa ville natale, son entourage et tout ce qui concerne son rapport avec la terre et le terroir. Mohamed El Jerroudi a réussi plusieurs ouvrages et surtout le côté poétique qu'il considère comme une continuité avec les arts, la vie et tout ce qui est beau dans la vie..
