Les critiques lui attribuent plein de titres selon ses innombrables succès. Certains la nomment «la sirène du Mississipi», d'autres «l'ambassadrice de la Nouvelle-Orléans». Les centaines de festivaliers de la douzième édition de Tanjazz l'ont déjà nommée «la star du festival». Généreuse, dynamique, chaleureuse et charismatique, Lillian Boutté a enflammé la scène du Tanjazz. Véritable bête de la scène, elle a prouvé à Tanger qu'elle était une légende vivante du Jazz.
Entre le Jazz classique et le contemporain, les titres originaux de la Nouvelle-Orléans et d'autres aux airs plus RNB, Lillian est une chanteuse versatile qui excelle dans le Jazz quels que soient ses airs. Ce n'est pas pour rien que cette délicieuse dame a été nommée «Ambassadrice musicale de la Nouvelle-Orléans». Elle est ainsi la seconde légende du jazz dans l'histoire de la ville à recevoir cet honneur après Louis Armstrong. Au fil de ses passages en Europe ou en Afrique, Lillian Boutté transmet au monde entier sa propre vision généreuse de l'héritage culturel de la Nouvelle-Orléans depuis plus de vingt ans. Sur la scène de la ville du Détroit, Lillian a transporté les centaines de mélomanes dans les décors de la Nouvelle-Orléans, ce haut lieu du Jazz qui a vu naître des musiciens et des chanteurs devenus des porte-parole du Jazz nouvelle-orléanais. Parmi eux, Lillian Boutté porte très haut le flambeau du Jazz.
La dame du jazz ne se contente pas de chanter, mais il y a toute une mise en scène qui ponctue sa performance. Elle danse, elle fait participer le public dans son show et elle s'adonne à un jeu de rôles avec son orchestre. Ses nombreux talents ne se manifestent pas uniquement dans le chant, mais s'étendent à la danse et au cinéma. Repérée par Allen Toussaint, elle a chanté aux côtés des grands dont James Booker, Patti Labelle, les Neville Brothers, les Pointer Sisters et Dr John. Au cinéma, Lillian a partagé l'affiche avec Robert de Niro et Mickey Rourke dans le film «Angel Heart» d'Alan Parker dont la bande originale s'enrichit de sa voix. Lillian Boutté est un personnage incontournable de la Nouvelle-Orléans.
Au Tanjazz, l'artiste s'est produite en compagnie de The Gigolos. Un cocktail détonant comme celui consommé dans la région : le Mint Jule. Le mélange musical est comme ce mix de sucre de canne, de glace pilée et de menthe hachée et de coup de chaleur du bourbon. La première chanson en appelle une autre, puis une autre… Délicieux cocktail issu de ce shaker diabolique qui a pour nom : New Orleans !
Désirant depuis très longtemps faire voyager le feeling musical de sa ville natale auprès des oreilles du monde et de ses populations, Lillian réussit son défi et réalise son rêve. Du haut de ses 15 ans de carrière et de ses 17 albums de Jazz, de pop, de blues, de soul, de gospel, elle a réussi à transmettre l'atmosphère unique d'une ville au monde entier.
En 1988, elle part aux USA et est très vite remarquée : 3e prix au Thelonius Monk Jazz Vocal Competition.
Elle enchaîne ensuite les concerts et enthousiasme son audience à chaque fois. Son premier album solo, «Easy to Love» en 2006, fait grand bruit et est nominé aux Grammy Awards (best jazz vocal album). En 2008, elle grave à nouveau, «You Are There», avec le légendaire pianiste Hank Jones. Roberta enchaîne alors les performances avec R. Hargrove, R. Carter, H. Hancock, J. Moody. À présent, elle effectue une tournée internationale pour la promotion de son dernier album («So In Love»). «Gambarini is a true successor to E. Fitzgerald, S. Vaughan and C. McRae», selon K. Lowenthal. Elle se produit avec un trio acoustique.
Entre le Jazz classique et le contemporain, les titres originaux de la Nouvelle-Orléans et d'autres aux airs plus RNB, Lillian est une chanteuse versatile qui excelle dans le Jazz quels que soient ses airs. Ce n'est pas pour rien que cette délicieuse dame a été nommée «Ambassadrice musicale de la Nouvelle-Orléans». Elle est ainsi la seconde légende du jazz dans l'histoire de la ville à recevoir cet honneur après Louis Armstrong. Au fil de ses passages en Europe ou en Afrique, Lillian Boutté transmet au monde entier sa propre vision généreuse de l'héritage culturel de la Nouvelle-Orléans depuis plus de vingt ans. Sur la scène de la ville du Détroit, Lillian a transporté les centaines de mélomanes dans les décors de la Nouvelle-Orléans, ce haut lieu du Jazz qui a vu naître des musiciens et des chanteurs devenus des porte-parole du Jazz nouvelle-orléanais. Parmi eux, Lillian Boutté porte très haut le flambeau du Jazz.
La dame du jazz ne se contente pas de chanter, mais il y a toute une mise en scène qui ponctue sa performance. Elle danse, elle fait participer le public dans son show et elle s'adonne à un jeu de rôles avec son orchestre. Ses nombreux talents ne se manifestent pas uniquement dans le chant, mais s'étendent à la danse et au cinéma. Repérée par Allen Toussaint, elle a chanté aux côtés des grands dont James Booker, Patti Labelle, les Neville Brothers, les Pointer Sisters et Dr John. Au cinéma, Lillian a partagé l'affiche avec Robert de Niro et Mickey Rourke dans le film «Angel Heart» d'Alan Parker dont la bande originale s'enrichit de sa voix. Lillian Boutté est un personnage incontournable de la Nouvelle-Orléans.
Au Tanjazz, l'artiste s'est produite en compagnie de The Gigolos. Un cocktail détonant comme celui consommé dans la région : le Mint Jule. Le mélange musical est comme ce mix de sucre de canne, de glace pilée et de menthe hachée et de coup de chaleur du bourbon. La première chanson en appelle une autre, puis une autre… Délicieux cocktail issu de ce shaker diabolique qui a pour nom : New Orleans !
Désirant depuis très longtemps faire voyager le feeling musical de sa ville natale auprès des oreilles du monde et de ses populations, Lillian réussit son défi et réalise son rêve. Du haut de ses 15 ans de carrière et de ses 17 albums de Jazz, de pop, de blues, de soul, de gospel, elle a réussi à transmettre l'atmosphère unique d'une ville au monde entier.
Tanjazz au féminin
Tanjazz a été marqué par la belle participation des femmes. Outre Lillian Boutté, Roberta Gambarini a été l'autre star du festival. Splendide dans un caftan bien de chez nous, cette Italienne d'origine et Américaine de cœur a assuré un des spectacles les plus émouvants de la douzième édition de Tanjazz. Née à Turin dans une famille aimant le jazz, elle s'initie à la clarinette à douze ans. Cinq ans après, elle apprend le chant et se produit dans les clubs aux alentours, avant de s'installer à Milan pour lancer sa carrière.En 1988, elle part aux USA et est très vite remarquée : 3e prix au Thelonius Monk Jazz Vocal Competition.
Elle enchaîne ensuite les concerts et enthousiasme son audience à chaque fois. Son premier album solo, «Easy to Love» en 2006, fait grand bruit et est nominé aux Grammy Awards (best jazz vocal album). En 2008, elle grave à nouveau, «You Are There», avec le légendaire pianiste Hank Jones. Roberta enchaîne alors les performances avec R. Hargrove, R. Carter, H. Hancock, J. Moody. À présent, elle effectue une tournée internationale pour la promotion de son dernier album («So In Love»). «Gambarini is a true successor to E. Fitzgerald, S. Vaughan and C. McRae», selon K. Lowenthal. Elle se produit avec un trio acoustique.
