L'Association des Parents des élèves du Conservatoire de Musique de Tétouan a organisé, vendredi dernier, un riche programme très varié commémorant ainsi le 10e anniversaire de la disparition du grand « Maestro » ou artiste de renom Mohamed Larbi Temsamani, et ce avec l'étroite collaboration de l'Orchestre « Mohamed Larbi Temsamani» du Conservatoire sous la direction de l'artiste Mohamed Amine Akrami. A la Zaouiat des «Harrak» il a été programmé une matinée religieuse à laquelle ont participé des théologiens, membres de la famille du grand artiste ainsi que des personnes passionnées de la musique andalouse priant, à cette occasion, à la mémoire du grand investigateur dans la musique andalouse.
Au Club Ittihad de Tétouan nous avons suivi, avec attention, d'importants débats, opinions, déclarations et témoignages prévus dans le cadre du séminaire «Mohamed Larbi Temsamani : parcours d'un artiste» auxquels ont participé le docteur Abdelmalek Chami, Abderrahmane M'Rabet, Taoufik Himmich, Ali Zougari et Abdelmajid Temsamani. Toutes en éloges, ces importantes interventions drainaient dans les secrets artistiques et recherches musicales qui avaient caractérisé la vie du grand « Maâlem» Mohamed Larbi Temsamani qui a opté pour l'introduction de nouveaux instruments dans l'échelle musicale, l'amélioration et l'enrichissement du répertoire et autres moyens à même de rehausser le rang de la musique andalouse devenue universelle.
Grâce à son sixième sens, le grand artiste Mohamed Larbi Temsamani devait assurer la direction du Conservatoire de Musique de Tétouan à l'aube de l'Indépendance et ce après avoir côtoyé les « Maâlem » de renom tels que feux Abdelkrim Raïs et Moulay Ahmed Loukili qui ont vécu ensemble à Tanger, ville natale de Temsamani, durant les années 40 et 50 du dernier siècle.
«Grâce à un instrument très délicat comme le piano, comment Temsamani a pu assurer la direction d'un grand orchestre de la musique andalouse…» se demandent les investigateurs et chercheurs de la musique andalouse. Mais la réponse réside dans l'interprétation qui a été toujours effectuée par cet artiste d'une manière scientifique avec des instruments basiques comme le solfège.
C'était aussi une occasion pour écouter des témoignages relatifs au parcours artistique et la vie « andalouse » du grand « Maestro » Mohamed Larbi Temsamani qui fut ancré dans la musique andalouse comme il avait toujours souhaité.
Que ton âme repose en paix cher Mohamed Larbi Temsamani.
Au Club Ittihad de Tétouan nous avons suivi, avec attention, d'importants débats, opinions, déclarations et témoignages prévus dans le cadre du séminaire «Mohamed Larbi Temsamani : parcours d'un artiste» auxquels ont participé le docteur Abdelmalek Chami, Abderrahmane M'Rabet, Taoufik Himmich, Ali Zougari et Abdelmajid Temsamani. Toutes en éloges, ces importantes interventions drainaient dans les secrets artistiques et recherches musicales qui avaient caractérisé la vie du grand « Maâlem» Mohamed Larbi Temsamani qui a opté pour l'introduction de nouveaux instruments dans l'échelle musicale, l'amélioration et l'enrichissement du répertoire et autres moyens à même de rehausser le rang de la musique andalouse devenue universelle.
Grâce à son sixième sens, le grand artiste Mohamed Larbi Temsamani devait assurer la direction du Conservatoire de Musique de Tétouan à l'aube de l'Indépendance et ce après avoir côtoyé les « Maâlem » de renom tels que feux Abdelkrim Raïs et Moulay Ahmed Loukili qui ont vécu ensemble à Tanger, ville natale de Temsamani, durant les années 40 et 50 du dernier siècle.
«Grâce à un instrument très délicat comme le piano, comment Temsamani a pu assurer la direction d'un grand orchestre de la musique andalouse…» se demandent les investigateurs et chercheurs de la musique andalouse. Mais la réponse réside dans l'interprétation qui a été toujours effectuée par cet artiste d'une manière scientifique avec des instruments basiques comme le solfège.
Merveilleuses strophes musicales
Au cinéma « Espanol », des centaines de passionnés de la musique andalouse avaient rendez-vous pour suivre la soirée marquée par de merveilleuses strophes musicales présentées par l'orchestre « Mohamed Larbi Temsamani du Conservatoire de Tétouan présidé par l'artiste Mohamed Amine Akrami.C'était aussi une occasion pour écouter des témoignages relatifs au parcours artistique et la vie « andalouse » du grand « Maestro » Mohamed Larbi Temsamani qui fut ancré dans la musique andalouse comme il avait toujours souhaité.
Que ton âme repose en paix cher Mohamed Larbi Temsamani.
