La Commission Régionale des Investissements a examiné au mois d'avril 16 projets d'investissements situés dans la Zone Industrielle d'Oulad Hadda à la Province de Mediouna. Ainsi, 13 demandes de dérogation ont reçu un avis favorable pour un investissement global estimé à plus de 2 milliards de DH. Selon le Centre régional d'investissement de Casablanca (CRI), «ces projets permettraient la création de plus de 14 000 emplois directs». Trois de ces projets qui ont eu l'aval de la commission régionale concernent l'aménagement et le développement de parcs industriels et logistiques.
Ces derniers sont initiés par des investisseurs privés dont un fonds d'investissement étranger. «Ceci témoigne de la confiance dont jouit le Grand Casablanca auprès d'investisseurs dans le secteur de l'immobilier d'entreprise.
Autrement dit, le développement des infrastructures d'accueil n'est plus une prérogative des pouvoirs publics mais est devenu un secteur à part entière qui intéressent de plus en plus d'investisseurs privés comme voulu par Sa Majesté le Roi, dans sa lettre du 9 janvier 2002 adressée à Monsieur le Premier Ministre relative à la Gestion Déconcentrée de l'Investissement», indiquent les responsables du CRI Casablanca.
Et d'ajouter que le bénéfice du régime dérogatoire répond au souci des pouvoirs publics de permettre l'instruction des dossiers d'investissement conformément aux orientations du SDAU et en attente de l'approbation des plans d'aménagement y afférents.
Il est à noter que l'augmentation de la demande pour les espaces logistiques au niveau de la capitale économique est estimée à hauteur de 69% selon une étude du CRI.
Par ailleurs, les exigences des opérateurs à la recherche de parcs industriels intégrés, dotés de système de gestion modernes et respectant les standards internationaux, alimentent la concurrence entre investisseurs désirant se lancer dans ce secteur.
En plus, la commission régionale a donné son accord pour d'autres projets qui touchent à plusieurs secteurs notamment la fabrication de mobilier de bureau, l'industrie métallique, l'industrie mécanique, la fabrication d'emballage et matériaux de construction.
Il faut dire que Casablanca devient de plus en plus une destination industrielle et logistique privilégiée, comme en témoigne, le nombre de demandes d'implantation dans la Zone Industrielle d'Oulad Hadda, province de Mediouna.
Cette dernière est le fruit d'un réel Partenariat Public Privé (PPP), qui s'étale selon le Schéma Directeur d'Aménagement Urbain (SDAU) du Grand Casablanca sur près de 840ha. En plus d'être l'une des plus grandes Zones Industrielles du Royaume, ladite zone s'inscrit dans le cadre de la volonté des pouvoirs publics locaux d'encourager la promotion et le développement des activités génératrices d'emplois à travers la mise à disposition aux investisseurs des infrastructures d'accueil de qualité.
Il faut dire que le secteur de logistique enregistre actuellement une forte sollicitation de la part des industriels pour l'externalisation d'une partie de l'activité logistique, ce qui a conduit à une hausse de la demande pour des plateformes convenables.
Le développement de ces espaces logistiques est cependant freiné par le déficit du foncier adéquat à des prix permettant aux investisseurs d'obtenir les rentabilités escomptées en appliquant des loyers de marché.
Ces derniers sont initiés par des investisseurs privés dont un fonds d'investissement étranger. «Ceci témoigne de la confiance dont jouit le Grand Casablanca auprès d'investisseurs dans le secteur de l'immobilier d'entreprise.
Autrement dit, le développement des infrastructures d'accueil n'est plus une prérogative des pouvoirs publics mais est devenu un secteur à part entière qui intéressent de plus en plus d'investisseurs privés comme voulu par Sa Majesté le Roi, dans sa lettre du 9 janvier 2002 adressée à Monsieur le Premier Ministre relative à la Gestion Déconcentrée de l'Investissement», indiquent les responsables du CRI Casablanca.
Et d'ajouter que le bénéfice du régime dérogatoire répond au souci des pouvoirs publics de permettre l'instruction des dossiers d'investissement conformément aux orientations du SDAU et en attente de l'approbation des plans d'aménagement y afférents.
Il est à noter que l'augmentation de la demande pour les espaces logistiques au niveau de la capitale économique est estimée à hauteur de 69% selon une étude du CRI.
Par ailleurs, les exigences des opérateurs à la recherche de parcs industriels intégrés, dotés de système de gestion modernes et respectant les standards internationaux, alimentent la concurrence entre investisseurs désirant se lancer dans ce secteur.
En plus, la commission régionale a donné son accord pour d'autres projets qui touchent à plusieurs secteurs notamment la fabrication de mobilier de bureau, l'industrie métallique, l'industrie mécanique, la fabrication d'emballage et matériaux de construction.
Il faut dire que Casablanca devient de plus en plus une destination industrielle et logistique privilégiée, comme en témoigne, le nombre de demandes d'implantation dans la Zone Industrielle d'Oulad Hadda, province de Mediouna.
Cette dernière est le fruit d'un réel Partenariat Public Privé (PPP), qui s'étale selon le Schéma Directeur d'Aménagement Urbain (SDAU) du Grand Casablanca sur près de 840ha. En plus d'être l'une des plus grandes Zones Industrielles du Royaume, ladite zone s'inscrit dans le cadre de la volonté des pouvoirs publics locaux d'encourager la promotion et le développement des activités génératrices d'emplois à travers la mise à disposition aux investisseurs des infrastructures d'accueil de qualité.
Il faut dire que le secteur de logistique enregistre actuellement une forte sollicitation de la part des industriels pour l'externalisation d'une partie de l'activité logistique, ce qui a conduit à une hausse de la demande pour des plateformes convenables.
Le développement de ces espaces logistiques est cependant freiné par le déficit du foncier adéquat à des prix permettant aux investisseurs d'obtenir les rentabilités escomptées en appliquant des loyers de marché.