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La beauté marocaine est saluée dans le monde entier, il était donc tout à fait naturel de penser à célébrer les femmes du Royaume en choisissant la plus belle, mais surtout la plus proche de l'image de la femme moderne. La première édition de «Miss Maroc» se veut une initiative originale qui cherche à mobiliser tous les attributs de valorisation de la femme. Organisé par «Night Star Maroc», détenteur de la marque «Miss Maroc», le concours est en cours de préparation depuis des mois. « Nous travaillons sur le projet depuis deux ans maintenant et le but est de redorer l'image de la femme marocaine et maghrébine en général», explique Naamane Touimer, un des organisateurs de l'événement.
«Le but est de trouver une femme qui puisse représenter le Maroc à sa juste valeur et sortir du complexe de «Miss France», qui est invitée systématiquement à toutes les occasions alors que, qui de mieux qu'une Marocaine pour parler de la femme marocaine ?», continue la même source.
En effet, que ce soit pour un défilé, une table ronde lors de la Journée de la femme, on a fait appel à «Miss France», dont le Maroc se sent le plus proche, afin de véhiculer le message de la femme moderne.
«Miss Maroc 2012» aura donc pour principal objectif de choisir une représentante de la femme marocaine qui saura parler en son nom au sein du Royaume et/ou à l'étranger. Pour ce faire, les équipes ont commencé le «casting» le 5 décembre dernier et ont parcouru les principales villes du Royaume pour rechercher les perles rares. De Tanger à Agadir, en passant par Casablanca, Rabat et Marrakech, les organisateurs sont allés à la rencontre de la Marocaine et le choix n'était pas des plus faciles. «Nous avons sélectionné 18 candidates en total sur des milliers de filles très belles, mais hélas !, bien souvent, le niveau intellectuel ne suivait pas», explique Naamane Touimer.
En effet, «Miss Maroc» ne choisit pas seulement la plus belle, mais la plus complète, celle qui allie charme, intellect et raffinement. Des filles qui sont pour la plupart dotées de diplômés et qui maîtrisent parfaitement au moins trois langues. Un statut qui ne suffit pas puisque les dix-huit sélectionnées subissent un traitement militaire dans un riad à Taroudante afin d'être préparées pour la soirée de sélection du 4 février au Mazagan Beach Resort. «Nous sommes sévères avec elles, nous leur apprenons le protocole, les règles de savoir-vivre, comment se tenir, comment marcher, et tout cela, avec un régime alimentaire assez strict», explique Zahara Yagoubi, styliste, qui supervise les équipes pour la préparation au grand jour. Un traitement en vigueur puisque le statut de «Miss Maroc» est un statut qui se mérite. «La future Miss est d'ores et déjà l'invitée d'honneur de la table ronde sur la situation de la femme marocaine lors de la Journée de la femme, elle sera l'invitée de l'ambassadeur des Seychelles pour discuter du tourisme marocain au sein de l'île et elle sera également l'invitée d'un événement à Dubaï où le Maroc est à l'honneur », explique l'organisateur, conscient de l'importance du choix de la Miss à qui incombera la lourde tâche de représenter son pays à l'étranger.
Ainsi, la «Miss Maroc» révélée le 4 février prochain aura toute une année pour montrer de quoi elle est capable et œuvrer dans le social au Maroc et à travers le monde. Au moindre faux pas, le comité pourra la retirer de ses fonctions puisqu'elle se doit d'être responsable et avoir une attitude irréprochable. Un concours dans l'air du temps et qui s'installe dans le temps puisque le contrat prévoit la pérennité du concours pendant 30 années.
S'il est vrai que le Maroc a mis du temps pour choisir la femme qui le représentera chaque année, les Marocaines du monde font parler d'elles depuis longtemps à l'instar de la jeune Marocaine Sara Chafak élue «Miss Finlande» dimanche dernier. Pendant ce temps là, la beauté marocaine aura un nom et un visage, une égérie sous le nom de «Miss Maroc».
«Le but est de trouver une femme qui puisse représenter le Maroc à sa juste valeur et sortir du complexe de «Miss France», qui est invitée systématiquement à toutes les occasions alors que, qui de mieux qu'une Marocaine pour parler de la femme marocaine ?», continue la même source.
En effet, que ce soit pour un défilé, une table ronde lors de la Journée de la femme, on a fait appel à «Miss France», dont le Maroc se sent le plus proche, afin de véhiculer le message de la femme moderne.
«Miss Maroc 2012» aura donc pour principal objectif de choisir une représentante de la femme marocaine qui saura parler en son nom au sein du Royaume et/ou à l'étranger. Pour ce faire, les équipes ont commencé le «casting» le 5 décembre dernier et ont parcouru les principales villes du Royaume pour rechercher les perles rares. De Tanger à Agadir, en passant par Casablanca, Rabat et Marrakech, les organisateurs sont allés à la rencontre de la Marocaine et le choix n'était pas des plus faciles. «Nous avons sélectionné 18 candidates en total sur des milliers de filles très belles, mais hélas !, bien souvent, le niveau intellectuel ne suivait pas», explique Naamane Touimer.
En effet, «Miss Maroc» ne choisit pas seulement la plus belle, mais la plus complète, celle qui allie charme, intellect et raffinement. Des filles qui sont pour la plupart dotées de diplômés et qui maîtrisent parfaitement au moins trois langues. Un statut qui ne suffit pas puisque les dix-huit sélectionnées subissent un traitement militaire dans un riad à Taroudante afin d'être préparées pour la soirée de sélection du 4 février au Mazagan Beach Resort. «Nous sommes sévères avec elles, nous leur apprenons le protocole, les règles de savoir-vivre, comment se tenir, comment marcher, et tout cela, avec un régime alimentaire assez strict», explique Zahara Yagoubi, styliste, qui supervise les équipes pour la préparation au grand jour. Un traitement en vigueur puisque le statut de «Miss Maroc» est un statut qui se mérite. «La future Miss est d'ores et déjà l'invitée d'honneur de la table ronde sur la situation de la femme marocaine lors de la Journée de la femme, elle sera l'invitée de l'ambassadeur des Seychelles pour discuter du tourisme marocain au sein de l'île et elle sera également l'invitée d'un événement à Dubaï où le Maroc est à l'honneur », explique l'organisateur, conscient de l'importance du choix de la Miss à qui incombera la lourde tâche de représenter son pays à l'étranger.
Ainsi, la «Miss Maroc» révélée le 4 février prochain aura toute une année pour montrer de quoi elle est capable et œuvrer dans le social au Maroc et à travers le monde. Au moindre faux pas, le comité pourra la retirer de ses fonctions puisqu'elle se doit d'être responsable et avoir une attitude irréprochable. Un concours dans l'air du temps et qui s'installe dans le temps puisque le contrat prévoit la pérennité du concours pendant 30 années.
S'il est vrai que le Maroc a mis du temps pour choisir la femme qui le représentera chaque année, les Marocaines du monde font parler d'elles depuis longtemps à l'instar de la jeune Marocaine Sara Chafak élue «Miss Finlande» dimanche dernier. Pendant ce temps là, la beauté marocaine aura un nom et un visage, une égérie sous le nom de «Miss Maroc».
