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La recherche d’une Performance globale (PG) est un gage de compétitivité, de valorisation et de pérennité pour les entreprises et plus particulièrement les PME. C’est en substance ce qui ressort de la rencontre organisée par le Centre des jeunes dirigeants (CJD), autour du thème : «La performance globale ou la voie du CJD dans un monde de mutation», le 14 juin dernier à Casablanca.
«La performance globale est un véritable modèle responsable qui intègre de manière indissociable dans la stratégie et la gouvernance de l’entreprise, les dimensions économique, sociale, sociétale et environnementale», explique Hazim Sebbata, président du CJD Maroc nouvellement élu pour les deux prochaines années. Selon lui, la performance de l’entreprise doit être appréhendée de manière globale.
Une démarche qui devrait intégrer les performances économique (rentabilité, actuelle ou future, mesurée par le bilan), sociale (bien-être des hommes et femmes au sein de l’entreprise), sociétale (rôle de l’entreprise dans la société et sur son territoire) et écologique (intégration de l’entreprise dans les écosystèmes).
Trois outils pour les managers
Pour aboutir à ce modèle, le CJD recommande aux dirigeants trois outils pour les accompagner à chaque étape du dit modèle (PG). Il s’agit en premier lieu d’un jeu pédagogique «I nove you» («nove» vient du mot «innover») pour la sensibilisation à la performance globale, le GPS (Global Performance System) comme outil de pilotage en ligne des démarches opérationnelles, mais également des commissions de travail pour favoriser les échanges et le partage d’expérience entre les dirigeants membres du Centre.
D’ailleurs, ces dernières ont déjà été mises en marche. Des commissions Performance globales ont démarré leur année «sart» dans les sections du CJD à Casablanca, à Rabat et à Marrakech, soit 22 entreprises au total. D’autres commissions sont en cours de démarrage dans les autres sections à l’échelle nationale.
