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En voulant dormir avec leur fils de trois mois, Trevor Merrill et Écho Nielsen, deux parents américains âgés de 28 ans, l'ont étouffé pendant son sommeil. Le petit Kayson n'aura pas survécu au cododo alors même que la première fille du couple, trois ans plus tôt, est morte de la même manière. Une histoire tragique qui aurait néanmoins pu être évitée puisque le médecin de famille avait prévenu, la veille, la maman des dangers qu'elle faisait encourir à son bébé en dormant avec lui.
Certes, il n'y a rien de plus doux et d'intense pour une nouvelle maman que de se blottir, peau contre peau, contre son bébé. De toutes les raisons justifiant le sommeil partagé, le contact humain avec son enfant reste la raison principale. C'est à travers sa peau, organe sensitif des plus développés à la naissance, que l'enfant entre en contact avec le monde extérieur. La peau permet à bébé de prendre conscience de son propre corps et d'établir ses premiers rapports avec son entourage. Cependant, lorsque le cododo n'est pas pratiqué dans de bonnes conditions, il devient extrêmement dangereux. Parmi les risques les plus graves figure l'asphyxie comme dans le cas du couple américain. Si l'on souhaite pratiquer du cododo, il faut que le lit soit sécurisé : pas de couettes, pas d'oreillers, pas de matelas trop mous, pas de matelas d'eau. Les parents doivent également veiller au risque de chute en prévoyant un matelas posé au sol. Sans oublier que la chambre ne doit pas être trop chauffée et l'enfant couché sur le dos dans une turbulette qui est un vêtement pour bébé qui laisse découverts les bras et la tête et qui recouvre tout le bas du corps dans une espèce de sac. Rappelons que le cododo, pratiqué dans de bonnes conditions, peut être bénéfique à l'enfant. Il n'est pas évident, après neuf longs mois passés dans le ventre de maman, de se retrouver seul dans un lit, si petit soit-il! La naissance demeure, sans aucun doute, un des plus grands traumatismes de la vie. Chez beaucoup d'enfants, le sommeil partagé se passe assez bien. Le simple fait d'être collé contre la poitrine maternelle arrête les pleurs et calme les angoisses chez l'enfant. La chaleur corporelle et le battement de cœur d'une maman servent de rappel réconfortant et sécurisant du ventre maternel.
Le cododo peut donc servir de transition et de détachement, et celle-ci doit se faire pas à pas, sans se presser ! Par ailleurs, à la suite d'un cauchemar ou d'une grosse peine qui s'éternise, certains enfants éprouvent des difficultés à s'endormir. Le simple fait de passer quelques nuits en cododo leur redonne confiance.
Il ne faut pas laisser leurs nuits devenir source d'angoisse et de stress puisque la nuit est là pour qu'ils bénéficient d'un sommeil le plus calme qui soit afin qu'il devienne le plus réparateur possible.
Certes, il n'y a rien de plus doux et d'intense pour une nouvelle maman que de se blottir, peau contre peau, contre son bébé. De toutes les raisons justifiant le sommeil partagé, le contact humain avec son enfant reste la raison principale. C'est à travers sa peau, organe sensitif des plus développés à la naissance, que l'enfant entre en contact avec le monde extérieur. La peau permet à bébé de prendre conscience de son propre corps et d'établir ses premiers rapports avec son entourage. Cependant, lorsque le cododo n'est pas pratiqué dans de bonnes conditions, il devient extrêmement dangereux. Parmi les risques les plus graves figure l'asphyxie comme dans le cas du couple américain. Si l'on souhaite pratiquer du cododo, il faut que le lit soit sécurisé : pas de couettes, pas d'oreillers, pas de matelas trop mous, pas de matelas d'eau. Les parents doivent également veiller au risque de chute en prévoyant un matelas posé au sol. Sans oublier que la chambre ne doit pas être trop chauffée et l'enfant couché sur le dos dans une turbulette qui est un vêtement pour bébé qui laisse découverts les bras et la tête et qui recouvre tout le bas du corps dans une espèce de sac. Rappelons que le cododo, pratiqué dans de bonnes conditions, peut être bénéfique à l'enfant. Il n'est pas évident, après neuf longs mois passés dans le ventre de maman, de se retrouver seul dans un lit, si petit soit-il! La naissance demeure, sans aucun doute, un des plus grands traumatismes de la vie. Chez beaucoup d'enfants, le sommeil partagé se passe assez bien. Le simple fait d'être collé contre la poitrine maternelle arrête les pleurs et calme les angoisses chez l'enfant. La chaleur corporelle et le battement de cœur d'une maman servent de rappel réconfortant et sécurisant du ventre maternel.
Le cododo peut donc servir de transition et de détachement, et celle-ci doit se faire pas à pas, sans se presser ! Par ailleurs, à la suite d'un cauchemar ou d'une grosse peine qui s'éternise, certains enfants éprouvent des difficultés à s'endormir. Le simple fait de passer quelques nuits en cododo leur redonne confiance.
Il ne faut pas laisser leurs nuits devenir source d'angoisse et de stress puisque la nuit est là pour qu'ils bénéficient d'un sommeil le plus calme qui soit afin qu'il devienne le plus réparateur possible.
