Une soirée musicale a été organisée à l'occasion, rappelant les œuvres du regretté à travers les voix de plusieurs artistes, notamment Amal Abdelkader, Mohamed Ali, Nezha Chaâbaoui, Bachir Abdou, Mohamed El Ghaoui, Ahmed Alaoui, Yahya Saber et Mahmoud El Idrissi. «Feu Abdenbi Jirari est un artiste qui a énormément donné à la chanson marocaine moderne. Il a découvert, à travers son émission, beaucoup de talents qui se sont imposés par la suite sur la scène marocaine et arabe. Dans les années 60 et 70, “Mawahib” constituait pour nous un rendez-vous que nous attendions avec impatience pour voir les nouvelles découvertes vocales du défunt Abdenbi Jirari. Lui-même a laissé derrière lui un répertoire qui honore notre musique. Cet homme constitue une fierté pour le Maroc et son nom restera à jamais gravé dans notre mémoire. Nous sommes très contents de lui rendre cet hommage», souligne Mohamed Najib Loubaris, secrétaire général de l'association Ribat Al Fath.
Cette nuit de reconnaissance a été marquée par la présence de nombreux artistes qui ont côtoyé le défunt de très près. Certains parmi eux n'ont pas manqué de prononcer des paroles pour lui rendre hommage, sur sa vie et ses qualités d'artiste très humain et aussi prévoyant. Des témoignages marquants du parolier Zeryouh, du compositeur Benyoussef, du professeur de musique Berrissoul, du chanteur Mohamed El Ghaoui, du chercheur El Khalfi et de l'unique fils du défunt rappelant un parcours fructueux ayant contribué à l'éclosion de talentueux chanteurs qui honorent toujours la scène musicale marocaine. La signature du livre biographique consacré au défunt, «La première école de l'Art au Maroc», écrit par le journaliste Mokhtar Laghzioui, fut reportée à une date ultérieure, à cause du retard de livraison des cinquante copies prévues pour la circonstance.
«C'est un artiste très spécial. Il a déployé beaucoup d'efforts pour la musique. Abdenbi Jirari a consacré tout son héritage familial à l'aide aux jeunes et pour la création d'une école moderne dans le domaine musical. À un moment donné de notre jeunesse où nous formions un groupe musical, il était notre conseiller et venait souvent nous voir et nous encourager. Une époque que nous ne pourrons jamais oublier», se rappelle Abdelkrim Bennani, président de l'association Ribat Al Fath. Pour évoquer les moments forts de la carrière de cet artiste, une exposition de photos, accompagnée d'instruments et d'autres objets personnels du défunt, a fait revivre des moments nostalgiques à ceux qui ont fait partie de sa famille artistique ou le connaissaient à travers son émission «Mawahib». Ils sont très nombreux. Qui ne connaît pas le défunt Abdenbi Jirari ? Même les plus jeunes ont entendu parler de lui par leurs proches, ce militant dans le domaine musical et dénicheur de talents prometteurs. Celui qui avait la générosité de donner sans attendre ni récompense ni de reconnaissance. Il a passé toute sa vie ainsi.
Un homme humble et dévoué qui n'a jamais arrêté de travailler et de prodiguer ses conseils et ses avis, même dans les moments de maladie. Ses apparitions sur le petit écran ont toujours suscité la sympathie de ceux qui l'ont approché ou des artistes dont les premiers pas ont commencé dans son programme «Mawahib». Son ultime passage sur l'écran (Studio 2M-2010) en tant qu'invité d'honneur nous a fait découvrir un homme toujours présent par le cœur, malgré sa retraite administrative. Des moments très touchants pour tous ceux qui ont vécu avec lui, puisqu'il leur a rappelé le bon vieux temps où l'artiste travaillait pour l'art et non pour le commerce. Ce parrain d'illustres noms de la chanson marocaine a été à la base de la formation de disciples, tous unanimes sur sa générosité et sa grandeur d'esprit. Il était pour eux à la fois le professeur et l'ami qui se donnait corps et âme pour encourager les jeunes talents et mettre en valeur la musique de son pays.
Cette nuit de reconnaissance a été marquée par la présence de nombreux artistes qui ont côtoyé le défunt de très près. Certains parmi eux n'ont pas manqué de prononcer des paroles pour lui rendre hommage, sur sa vie et ses qualités d'artiste très humain et aussi prévoyant. Des témoignages marquants du parolier Zeryouh, du compositeur Benyoussef, du professeur de musique Berrissoul, du chanteur Mohamed El Ghaoui, du chercheur El Khalfi et de l'unique fils du défunt rappelant un parcours fructueux ayant contribué à l'éclosion de talentueux chanteurs qui honorent toujours la scène musicale marocaine. La signature du livre biographique consacré au défunt, «La première école de l'Art au Maroc», écrit par le journaliste Mokhtar Laghzioui, fut reportée à une date ultérieure, à cause du retard de livraison des cinquante copies prévues pour la circonstance.
«C'est un artiste très spécial. Il a déployé beaucoup d'efforts pour la musique. Abdenbi Jirari a consacré tout son héritage familial à l'aide aux jeunes et pour la création d'une école moderne dans le domaine musical. À un moment donné de notre jeunesse où nous formions un groupe musical, il était notre conseiller et venait souvent nous voir et nous encourager. Une époque que nous ne pourrons jamais oublier», se rappelle Abdelkrim Bennani, président de l'association Ribat Al Fath. Pour évoquer les moments forts de la carrière de cet artiste, une exposition de photos, accompagnée d'instruments et d'autres objets personnels du défunt, a fait revivre des moments nostalgiques à ceux qui ont fait partie de sa famille artistique ou le connaissaient à travers son émission «Mawahib». Ils sont très nombreux. Qui ne connaît pas le défunt Abdenbi Jirari ? Même les plus jeunes ont entendu parler de lui par leurs proches, ce militant dans le domaine musical et dénicheur de talents prometteurs. Celui qui avait la générosité de donner sans attendre ni récompense ni de reconnaissance. Il a passé toute sa vie ainsi.
Un homme humble et dévoué qui n'a jamais arrêté de travailler et de prodiguer ses conseils et ses avis, même dans les moments de maladie. Ses apparitions sur le petit écran ont toujours suscité la sympathie de ceux qui l'ont approché ou des artistes dont les premiers pas ont commencé dans son programme «Mawahib». Son ultime passage sur l'écran (Studio 2M-2010) en tant qu'invité d'honneur nous a fait découvrir un homme toujours présent par le cœur, malgré sa retraite administrative. Des moments très touchants pour tous ceux qui ont vécu avec lui, puisqu'il leur a rappelé le bon vieux temps où l'artiste travaillait pour l'art et non pour le commerce. Ce parrain d'illustres noms de la chanson marocaine a été à la base de la formation de disciples, tous unanimes sur sa générosité et sa grandeur d'esprit. Il était pour eux à la fois le professeur et l'ami qui se donnait corps et âme pour encourager les jeunes talents et mettre en valeur la musique de son pays.
