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Les anciens Abattoirs de Casablanca ont abrité, le week-end dernier, une manifestation haute en couleurs et en sensations. Des voltigeurs en herbe ont animé cet événement dédié au «Free Style». Au menu, des acrobaties à couper le souffle, livrées à un public émerveillé face à la témérité de ces acrobates en couche-culotte. Moyennant leurs vélocross, leurs skate-boards, leurs rollerblades ou tout simplement à pied pour les fanas du «Parkour», les protagonistes de cette manifestation se sont surtout fait plaisir, avant de régaler l’assistance. «Cette initiative vise à permettre aux jeunes de s’exprimer par différents moyens de communication, en faisant usage de leurs dons, que ce soit à travers la création artistique ou par le biais des différentes facettes du Free Style. Il est question pour nous de les encourager à vivre leur passion jusqu’au bout et à donner libre cours à leur imagination. Marocains, Jordaniens et Égyptiens ont été impliqués dans cette expérience palpitante», explique Dana Al-Mubaidin Adnani, directrice de la communication pour la région MENA chez Nokia, organisateur de l’événement.
Le constructeur finnois ambitionne ainsi d’encourager tous les Freestylers marocains afin qu’ils mettent en valeur leurs talents à travers le rythme, le sport ou la créativité. L’objectif est de les impliquer dans un événement moyennant une approche basée sur la liberté de s’exprimer dans toute la diversité de leurs talents. «Le Free Style est la façon à travers laquelle les jeunes s’expriment aujourd’hui, à la fois physiquement et mentalement. Ce mouvement mobilise les gens et favorise la liberté d’expression, ce qui va de pair avec un concept qui nous est cher. Notre choix a été porté sur ce lieu mythique que sont les anciens Abattoirs pour célébrer un nouveau chapitre de la commercialisation de Nokia Asha au Maroc», souligne, pour sa part, Patrick Fichou, directeur Afrique du Nord. «Au-delà de la compétition, les meilleurs Freestylers seront les vedettes du premier documentaire jamais consacré au Free Style. Il s’agit d’un film de 90 minutes réalisé dans plusieurs pays arabes. Ce documentaire sera diffusé sur plusieurs chaînes et sur Internet, notamment sur YouTube», conclut Dana Al-Mubaidin Adnani.
