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Mohamed Rochdi Chraibi dément ce que le quotidien «Akhbar Al Yaoum Al Maghribya» a publié au sujet de la Commission consultative de révision de la Constitution

Mohamed Rochdi Chraibi, membre du cabinet royal, a démenti ce que le quotidien «Akhbar Al Yaoum Al Maghribya» a publié, mardi, au sujet de la commission consultative de révision de la Constitution.

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Dans une mise au point à ce journal, dont la MAP a reçu jeudi une copie, M. Chraibi a démenti l’existence d’une commission parallèle à celle qui avait été chargée de la révision de la Constitution qui statuait sur «des questions sensibles relatives aux prérogatives du Roi et d’autres ayant trait à la religion, à l’identité et à la répartition des pouvoirs».

M. Chraibi a affirmé qu’il se «réserve le droit d’user, le cas échéant, de ce qui est prévu par la loi comme droit de poursuite judiciaire». Voici la traduction de cette mise au point :

«Le quotidien “Akhbar Al Yaoum” a rapporté dans son numéro 1020 du mardi 26 mars 2013 des allégations dans lesquelles il prétend, en citant ce qu’il appelle “une source informée” qu’une commission parallèle comportant parmi ses membres mon nom personnel, se réunissait en marge de la commission consultative de révision de la Constitution et qu’elle statuait sur “des questions sensibles relatives aux prérogatives du Roi et d’autres ayant trait à la religion, à l’identité et à la répartition des pouvoirs”.

Je démens catégoriquement l’existence de cette prétendue commission et affirme n’avoir participé à aucune commission de ce genre, sachant que l’élaboration du projet de la nouvelle Constitution était exclusivement confiée à la commission consultative de révision de la constitution que présidait le professeur Abdellatif Menouni, alors qu’un mécanisme politique, présidé par le Conseiller de S.M. le Roi, le professeur Mohamed Moatassim, et composé de représentants des partis politiques, des centrales syndicales et du président de la commission consultative de révision de la constitution, était chargé du suivi, de la concertation et de l’échange de vues sur la révision proposée de la Constitution.

De même, je me réserve le droit d’user, le cas échéant, de ce qui est prévu par la loi comme droit de poursuite judiciaire».

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