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El Kanabi se retire au profit d’Abdelilah Akram

Les faits : Noureddine El Kanabi, ancien membre du Groupement national de football d’élite (GNFE) qui avait déclaré au «Matin» son intention de se porter candidat à la présidence de la Fédération royale marocaine de football (FRMF) (voir notre édition de 31 juillet) a finalement renoncé. Il a fait part immédiatement de son soutien à Abdelilah Akram, président du WAC et premier vice-président de la FRMF, qui devra officialiser bientôt sa candidature.

El Kanabi se retire au profit d’Abdelilah Akram
Noureddine El Kanabi.

El Kanabi, qui avait un temps envisagé de se présenter à l’élection du président de la FRMF, a déclaré au «Matin» qu'il ne briguerait pas la présidence et apporterait son soutien à l'un des prétendants, Abdelillah Akram. «J'ai décidé de ne pas déposer ma candidature aux élections de la présidence de la FRMF pour me ranger derrière celle d’Abdelilah Akram», nous a-t-il indiqué. Cette décision a été prise lundi lors d’une réunion entre les deux hommes à Casablanca en présence d’une trentaine de clubs et de neuf ligues. En cas de victoire d’Akram, il se verra confier le poste de vice-président. Tout un symbole. Akram pourra donc compter sur le soutien de l’un des vieux routiers du football national pour faire face à Fouzi Lakjâa, président de la Renaissance Berkane et actuel directeur du budget au ministère de l’Économie et des finances, qui devrait déposer sa candidature incessamment.  Selon nos informations, Akram déposera officiellement sa candidature le 15 octobre courant.


Vers un duel Akram-Lakjâa

Le poste du président de la FRMF devra se jouer entre Abdelilah Akram et Fouzi Lakjâa. Les deux candidats non déclarés, ou plutôt leurs représentants, ont déjà commencé de manière officieuse leur campagne en multipliant des réunions avec les clubs et les ligues. On assistera donc à un duel entre les deux hommes sauf si une tierce personne décide de brouiller les cartes à la dernière minute. Pour l’heure, on est encore loin de ce scénario, mais tout reste possible. Le dernier mot reviendra donc à l’assemblée générale qui devra élire le successeur d’Ali Fassi Fihri qui a préféré se retirer après un seul mandat. n

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