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L’Université Abulcasis des sciences de la santé ouvre ses portes

Avis aux étudiants souhaitant poursuivre des études scientifiques, la Fondation Cheikh Zaïd vient d’annoncer l’ouverture des portes de l’Université internationale Abulcasis des sciences de la santé «UIASS» pour l’année universitaire 2014-2015. Un concours est prévu le 27 septembre pour la sélection des candidats.

L’Université Abulcasis des sciences  de la santé ouvre ses portes

Le Maroc fait face, depuis plusieurs années, à une pénurie du personnel médical et paramédical. Afin d’améliorer la situation, de nouvelles universités privées formant médecins et infirmiers voient le jour. Après la nouvelle faculté privée de médecine qui ouvrira ses portes en octobre prochain à Casablanca, la Fondation Cheikh Zaïd vient d’annoncer que l’Université internationale Abulcasis des sciences de la santé «UIASS» de Rabat accueillera les étudiants souhaitant poursuivre des études scientifiques pour l’année universitaire 2014-2015. Fondée dans le cadre d’un partenariat public-public avec le ministère de l’Enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de la formation des cadres, l’Université internationale Abulcasis des sciences de la santé est constituée de trois facultés et instituts. Il s’agit de la Faculté de médecine Abulcasis, la Faculté des sciences de la santé de Rabat et l'Institut supérieur de l'ingénierie et des technologies de la santé.

D’après un communiqué de la Fondation Cheikh Zaïd qui a pour vocation le développement du métier de l’enseignement et l’exercice de la médecine au Maroc, la formation sera assurée par un réseau d’enseignement clinique déployé sur le territoire marocain et sur d’autres pays partenaires comme la France, le Canada, la Belgique… «La Faculté de médecine Abulcasis met en valeur l’enseignement de la médecine sociale et axe sa pédagogie sur l’étudiant, et ce, à travers l’intégration de nouvelles thématiques et disciplines telles que l’économie de la santé, l’éthique médicale et la communication à son cursus pédagogique.

Ainsi, cette faculté privilégie l’encadrement de l’étudiant, l’acquisition d’un raisonnement clinique et d’un esprit scientifique, et favorise la prise de décision par la mise en place d’un système de tutorat
(1 professeur pour 10 étudiants), un centre des études médicales par simulation et un centre de recherche constitué de plusieurs laboratoires spécialisés», indique le communiqué de la fondation. Et d’ajouter : «La Faculté des sciences de la santé de l’UIASS ambitionne de former de multiples compétences et mobilise des ressources pédagogiques et techniques offrant pendant les trois cycles de formation en sciences infirmières (Licence/Master/Doctorat) des programmes diversifiés, actualisés et respectant les normes pédagogiques exigées par le ministère de l’Enseignement supérieur de la formation des cadres et de la recherche scientifique».
Par ailleurs, la Faculté des sciences de la santé de Rabat offre, en partenariat avec la Faculté des sciences infirmières de l’Université Laval-Québec-Canada, la possibilité de réaliser un cursus en Bachelor/Licence permettant de poursuivre des études en Master et Doctorat en sciences infirmières. Tenant compte des priorités de santé à l’échelle nationale, trois licences professionnelles jugées prioritaires seront enseignées. Il s’agit des formations de l’infirmier polyvalent, l’infirmier en anesthésie et réanimation et le manipulateur en imagerie médicale.

En outre, l’Institut supérieur d’ingénierie et technologies de la santé a pour objectif de mettre en évidence la diversité du domaine médical et se spécialise dans le domaine des technologies de la santé. À cet effet, l’Institut offre la possibilité d’intégrer un cursus en Ingénierie biomédicale. «À mi-chemin entre ingénierie et médecine, l’enseignement dispensé au niveau de la licence professionnelle de l’Institut a pour ambition de préparer des professionnels de la santé qui, selon leur spécialité et leur domaine d’intervention, seront capables d’assurer la maintenance préventive des équipements biomédicaux, de faire le diagnostic des pannes, de réparer les équipements biomédicaux, mais aussi de participer à l’évaluation des besoins en équipements biomédicaux et à l’établissement des cahiers de charges des établissements hospitaliers», affirme la même source. 

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