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Lamhamedi termine 47e au Slalom géant

Adam Lamhamedi a terminé 47e, au classement général, au terme de l’épreuve du Slalom géant à Sotchi, dans le cadre des Jeux olympiques d’hiver 2014. Lamhamedi a totalisé un temps de 2 minutes, 59 secondes et 23 centièmes.

Lamhamedi termine  47e au Slalom géant
Adam Lamhamedi a réussi une meilleure 1re phase, mais s'est heurté à l'expérience des autres participants. Ph. AFP

Le grand espoir du ski marocain, Adam Lamhamedi, a réussi une 47e place au terme de l’épreuve du Slalom géant, sur la piste Rosa Khudor à Sotchi. L’une des épreuves les plus suivies de ces XXIIe Jeux olympiques d’hiver, disputés en Russie. Lamhamedi termine à plus de 13 secondes de l’Américain Ted Ligety, qui a remporté l’or en devançant les deux Français, Steve Missillier et Alexis Pinturault.

Dans la première série, le skieur marocain a atteint la ligne d’arrivée avec un chrono d’une minute,
29 secondes et 27 centièmes. Ce qui le classait à la 51e place. Mais dans la 2e manche, il a amélioré son classement, malgré un chrono revu à la hausse, à une minute, 29 secondes et 96 centièmes. Le médaillé d’or aux JO de la jeunesse à Innsbruck en 2012 fait donc ses premiers pas au sein du gratin de la discipline et gagne une place méritée parmi les meilleurs skieurs du monde. L’avenir semble radieux pour ce jeune, à l’image de sa compatriote Kenza Tazi, auteur d’une encourageante 62e place dans la même épreuve, la veille.
Une nouvelle chance, ce samedi 

De même que Kenza Tazi, qui prendra part au slalom dames, ce vendredi, Adam Lamhamedi disputera le slalom hommes, samedi. Sur cette même piste Rosa Khudor, les deux Marocains tenteront d’élever haut les couleurs du Royaume, dans le ciel russe. Ou à défaut, honorer la sixième participation marocaine lors des JO d’hiver.
La première participation de Lamhamedi et Tazi est pour l’instant un motif de fierté, même s’ils n’ont pas atteint les hautes sphères. Car Pierre de Coubertin, fondateur des Jeux olympiques modernes et inventeur du célébrissime adage «L’important, c’est de participer», a aujourd’hui, plus que jamais, raison. 

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