Vingt ans après la première du nom, Renault présente au salon automobile de Genève la troisième génération de sa petite citadine : une nouvelle Twingo totalement repensée, déclinée en quatre couleurs, avec une bonne dose d’innovation et très personnalisable.
Avec sa physionomie attachante et son style dynamique, nouvelle Twingo affiche un caractère fun et haut en couleur, dans l’esprit de ses devancières. Les quatre teintes dévoilées à Genève, en clin d’œil à la première Twingo, composent autant de personnalités complémentaires : «féminine» ou «masculine», «sportive» ou «vintage». À l’extérieur comme à l’intérieur, la couleur est partout, jusque dans les rangements disposés dans l’habitacle. «Nouvelle Twingo puise son inspiration dans la Twingo originelle, mais aussi la R5. C’est une interprétation moderne de la voiture urbaine avec un parti-pris d’innovation marqué en style et en architecture. Nouvelle Twingo est une citadine fun, ludique et pleine d’allant. Au quotidien, elle se révèle ultra-maniable, habitable et toujours plus pratique. Elle donne envie de filer et de se faufiler à son volant», a indiqué Laurens Van den Acker, directeur du Design industriel de Renault, au Salon de Genève.
Son architecture originale donne à la nouvelle Twingo une silhouette bien à elle et une physionomie sympathique. Avec son capot court et son habitacle généreux, elle suggère l’agilité et promet un bel espace à bord. Avec seulement 3,59 m de longueur, la nouvelle mini citadine offre des proportions compactes. Ses roues repoussées aux 4 coins et ses porte-à-faux courts autorisent un empattement record de 2,49 m, une garantie d’un espace intérieur généreux.
En osant une architecture à moteur arrière, la nouvelle Twingo fait le choix de l’agilité et de l’habitabilité, au-delà de ce que laisserait supposer sa longueur.
L’agilité est le premier bénéfice amené par cette architecture. Passer le moteur à l’arrière permet de «libérer» le train avant. Avec son diamètre de braquage de 8,65 m, la nouvelle Twingo tourne dans un mouchoir de poche : elle demande un mètre de moins que ses concurrentes dans l’exercice du demi-tour.
