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«Les organisations confessionnelles sont des partenaires importants. Elles offrent un accès sans équivalent aux communautés locales», affirme Magda Lovei, manager au pôle Environnement et ressources naturelles de la Banque mondiale.
Selon le site Internet de cette institution, l’implication des organisations confessionnelles revêt une importance particulière en Afrique, où 90% des habitants se disent chrétiens ou musulmans.
La Banque mondiale soutient le lancement d’une Alliance africaine pour des paysages résilients et promouvra une initiative qui vise à placer 25 millions d’hectares sous la gestion durable des paysages à l’horizon 2025 avec la participation de 25 millions d’agriculteurs. En octobre 2014, 90 responsables d’organisations confessionnelles, agricoles et éducatives de huit pays africains se sont réunis en Ouganda pour signer la déclaration de Mukono appelant à une nouvelle alliance «pour une agriculture de fidèles» et des paysages résilients.
Selon la Banque mondiale, cette évolution intervient alors que pays et partenaires privilégient de plus en plus la restauration des terres pour renforcer les moyens de subsistance et assurer la croissance économique et la sécurité alimentaire.
