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Une Convention-cadre de coopération a été signée, récemment à Marrakech, entre l’Université Cadi Ayyad (UCAM) et le Laboratoire publics d’essais et d’études (LPEE), en marge du sixième Congrès francophone sur les méthodes d’auscultation et d’évaluation des ouvrages de génie civil «Diagnobeton» (voir encadré).
Paraphé par le Pr Belaid Bougadir et Abdellah Choukir, respectivement vice-président de l’UCAM et directeur du Centre expérimental des matériaux et du génie industriel de LPEE, ledit accord définit le cadre de coopération entre les deux institutions et les moyens à mettre en œuvre pour la concrétisation des objectifs escomptés.
En vertu de cette convention, les signataires conviennent d’instaurer et de développer une coopération fructueuse dans le sens de leurs aspirations mutuelles et de leurs intérêts communs. Les deux parties s’engagent aussi à élaborer des programmes conjoints de recherche et de formation, collaborer dans les domaines de la recherche, de l’enseignement et de l’encadrement, promouvoir les échanges de chercheurs, du personnel enseignant et d’étudiants, organiser des colloques, réunions et manifestations scientifiques, et à échanger des publications à caractère scientifique, technique ou pédagogique.
L’UCAM et le LPEE ont également convenu que tout projet ou toute proposition de travail s’inscrivant dans le cadre de cette convention fera l’objet d’un avenant portant mention et précisant les termes de référence du projet ou du travail, notamment les aspects liés au volume et à l’allocation de ressources matérielles, humaines et financières nécessaires. Les signataires ont, en outre, pris l’engagement d’assurer, chacun selon ses possibilités, les moyens nécessaires à la réalisation des programmes de formation ainsi que les activités scientifiques et pédagogiques, comme elles ont convenu de mettre en commun, à la disposition des uns et des autres, les moyens humains, matériels et logistiques, dans la mesure du possible, pour permettre la progression des thèmes ou activités retenus. «Cette convention permettra aux nombreux travaux de recherche menés par l’UCAM de trouver leur voie du salut, d’être mis en application sur le terrain et de ne pas rester confinés dans l’Université», a confié Abdellah Choukir au journal «Le Matin».
