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En cette saison de vacances, le spécialiste des petites annonces marocain, Avito, vient de publier les résultats d’une étude sur les logements de vacances des Marocains. Entre location de vacances et résidences secondaires, les vacanciers ont fait leur choix. La moitié choisit la première option et est à 25,7% pour un voyage à Marrakech, tandis que 24,6% optent pour Tanger et 19% préfèrent Agadir. Le balnéaire a donc la cote. Un constat qui se confirme selon les analyses de recherches sur le site, et plus particulièrement pour le Nord du pays, puisque les villes de Martil, Tétouan-Cabo Negro figurent parmi les plus recherchées.
Pour ceux qui préfèrent l’achat, l’étude démontre que de plus en plus d’acquéreurs misent sur la périphérie avec 36% des sondés, contre 34% qui préfèrent le centre-ville. Les alentours de Rabat viennent en tête avec 32% talonnés par Marrakech (22%). Le Top 5 est complété par Agadir (20%), Tanger (12%) et Casablanca (8%). En ce qui concerne le choix du logement, plus de la moitié, soit 61,7% recherchent des appartements. Les maisons traditionnelles et les terrains suivent avec 10%. Les villas, pour leur part, ne représentent que 4% de la demande.
Côté budget, la grille est assez large. Quelque 60% des sondés déclarent avoir une enveloppe entre 400.000 et 800.000 DH, 44% ont un investissement de 200.000 et 400.000 DH. Enfin, seuls 6% des interrogés disent détenir un financement de plus de 2 millions de DH pour l’acquisition de leur résidence secondaire. S’agissant des superficies, 60% des répondants sont favorables à des logements de 70-100 m², tandis que 28% préfèrent des plus petits biens de 40-60m². La grande majorité des sondés opte pour le moyen standing avec 60,7% des réponses. Ils sont 29% à rechercher l’économique et seulement 10% à favoriser le haut standing. Enfin, «les transactions directes sont largement préférées par les Marocains. En effet, 76% des répondants affirment ne pas avoir recours à un agent immobilier pour l’achat de leur maison de vacances, contre 24% qui demanderaient plutôt les services d’un courtier immobilier», indique Avito.
