«Vous savez, c’était difficile d’aborder ce match face à Radès surtout sur le plan mental. L’ASS avait déjà perdu la finale du championnat arabe et plusieurs autres finales et c’était difficile de dépasser l’impact de ces déceptions. À la mi-temps, alors qu’on était en retard de 11 points, j’ai essayé de tenir un discours musclé et rugueux pour rappeler les joueurs à l’ordre mais aussi les libérer sur le plan psychologique. J’ai littéralement crié : “Ils jouent comme des hommes, mais pas nous… il faut que ça change dès ce troisième quart-temps”. Les joueurs ont ensuite excellemment réagi, parvenant à remonter au score puis renverser la donne en fin de match.
Saïd Bouzidi, coach de l’ASS : «Cette génération méritait vraiment d’être honorée»
Youssef Moutmaine
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21 Décembre 2017
À 19:05
