La Banque mondiale et le Programme des Nations unies pour l’environnement (Pnue) ont tracé une feuille de route pour un système financier au service du développement durable au profit de 21 pays en développement qui représentent 48% des émissions mondiales de gaz à effet de serre.
Elles pourraient passer la barre des 200 milliards de dollars cette année», selon les prévisions de l’agence de notation Moody’s. D'autre part et en collaboration avec Casablanca Finance City et le ministère italien de l’Environnement, onze des plus grands pôles financiers du monde ont uni leurs forces en faveur de la finance durable dans le cadre d’une initiative menée par le Pnue. Enfin, l'Initiative des bourses de valeurs pour un investissement durable compte à présent plus de 60 places financières, qui représentent plus de 70% des marchés boursiers et quelque 30.000 entreprises avec une capitalisation boursière de 55.000 milliards de dollars. «Pour aligner le système financier mondial sur le développement durable, les innovations à la marge ne suffiront pas. Il faut définir l’architecture sous-jacente du système, explique Simon Zadek, codirecteur du dispositif d’investigation du Pnue. .
