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Les candidatures validées aujourd'hui

Les candidatures validées aujourd'hui

C’est aujourd’hui, lundi 16 avril, que les candidatures pour la présidence de la CGEM doivent être officialisées. Le Conseil d’administration de la Confédération patronale doit se réunir ce jour pour valider les 3 candidatures déposées par les binômes Salaheddine Mezouar-Faïçal Mekouar, Hakim Marrakchi-Assia Benhida-Aïouch et Khalid Dahami-Narjisse Loudiyi. Il s'assurera ainsi que les trois dossiers remplissent les conditions exigées par la CGEM, en l’occurrence 100 signatures de soutien de membres directs de la Confédération à jour de leurs cotisations au moment de la signature de la lettre de soutien, et appartenant à au moins trois CGEM régions différentes, avec un minimum de 30% hors Casablanca. Rappelons que les deux binômes Marrakchi-Benhida-Aïouch et Dahami-Loudiyi ont déposé leurs candidatures jeudi 12 avril en fin de journée. Le lendemain, le tandem Mezouar-Mekouar leur a emboité le pas. «Ma candidature émane d’une conviction et un engagement pour remettre l’entreprise au cœur de la dynamique du développement du pays», a déclaré Mezouar vendredi 13 avril. «Nous avons reçu beaucoup de soutien. Avec Faïçal, nous comptons rendre le secteur privé plus fort, dynamique, responsable et nécessaire pour notre pays. Nous sommes à une période charnière où nous avons besoin de toute notre énergie et potentiel. Nous voulons une CGEM des initiatives et de l’action, une CGEM forte de ses régions, de ses jeunes et femmes. Nous disposons d’une expérience riche. Je suis un homme de l’entreprise et du public et de la responsabilité, je connais les deux bords», insiste Mezouar. Avant de déposer officiellement sa candidature, Faïçal Mekouar devait démissionner de son poste de vice-président de la CGEM, comme le prévoient les statuts. 
Hakim Marrakchi ambitionne, de son côté, que les entreprises «soit davantage et naturellement reconnues comme le lieu privilégié de création de valeur dans un modèle de développement économique et social inclusif». Son cheval de bataille avec Assia Benhida-Aïouch tient en un seul mot : l’entrepreneuriat. Tous deux envisagent également un pacte de confiance entre le patronat, le gouvernement et les partenaires sociaux. Pour sa part, le binôme Dahami-Loudiyi préfère attendre demain pour communiquer. C'est ce que nous a affirmé Narjisse Loudiyi. 

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