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La Fondation Attijariwafa bank lance à Casablanca le «Prix du livre de l'année»

La Fondation Attijariwafa bank a annoncé, lundi soir à Casablanca, le lancement du «Prix du livre de l’année», le premier du genre à être institué par une institution privée au Maroc, en présence de plusieurs personnalités du monde de la culture et des lettres.

La nouvelle distinction sera décernée tous les mois de février, à compter de l’année 2019, et comptera trois catégories : «Prix du meilleur livre publié en langue arabe», «Prix du meilleur livre publié en français» et «Prix du meilleur livre publié en amazigh». Lors de l’annonce de cette initiative, en marge de la troisième édition de la Rentrée littéraire 2018, le président-directeur général du groupe Attijariwafa bank, Mohamed El Kettani, a indiqué que « le Prix du Livre de l’Année de la Fondation Attijariwafa bank contribuera à mobiliser les énergies, à stimuler la production intellectuelle et à drainer davantage de lecteurs ».

Ce concours ambitionne de soutenir et d’encourager la production intellectuelle sous toutes ses formes et de promouvoir la lecture en tant que moyen capital de transmission de la science et du savoir, a-t-il ajouté.
De son côté, le président de l'Union professionnelle des éditeurs du Maroc, Abdelkader Retnani, a salué chaleureusement cette initiative qui «permettra de porter activement le livre à travers l’encouragement de la production littéraire et la promotion de l’édition». Le «Prix du livre de l’année» permettra certainement à de nombreux lecteurs de découvrir des nouveautés et des talents marocains qui gagnent à être connus et reconnus, a ajouté M. Retnani, par ailleurs directeur des éditions La Croisée des chemins. La cérémonie inaugurale de la Rentrée littéraire 2018 a enregistré la présence, notamment, de Mohamed El Aaraj, ministre de la Culture et de la communication, Driss El Yazami, président du Conseil national des droits de l’Homme, et Jean-François Girault, ambassadeur de France au Maroc. En marge de cette cérémonie, une conférence-débat sur «Le rôle de l’écriture dans les mutations sociales» a réuni la sociologue Rahma Bourqia, l’historien Abdeslam Cheddadi et le politologue Mohamed Tozi, pour s’arrêter sur les bienfaits de la lecture ainsi que sur la diversité et enjeux des écrits professionnels dans les mutations sociales. 

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