Gray n’a pas manqué de saluer l’organisation du Festival qu’il trouve exceptionnelle. «Je viens pour la troisième fois et je remarque une grande amélioration dans le festival. Je n’ai aucune critique ni remarque à faire. D'autant plus que les conditions de travail sont parfaites, parce qu’on n’a que deux films à voir par jour. J’aurais aimé avoir plus de temps pour visiter la ville. Mais il faut dire que ce festival me permet de voir des films qui viennent d’un peu partout et que je ne pourrais pas voir aux États-Unis. Et puis, le fait d’être président du jury de ce festival est une expérience très enrichissante que j’apprécie énormément. Même si je me sens un peu fatigué parce que je sors de deux films que je viens de voir l’un après l’autre. De plus, le fait que je sois au Maroc tombe à point nommé. Car, à un moment donné, il arrive qu’on ait besoin de se ressourcer», souligne James Gray.
James Gray : «Le FIFM est un endroit unique où le langage du cinéma réunit des gens du monde entier»
Dans le cadre des multiples activités de la 17e édition du Festival international du film de Marrakech, l’équipe de l’événement a organisé une rencontre du président du jury avec différents médias. Réagissant aux multiples questions qui lui ont été posées, le réalisateur James Gray a parlé un langage clair, avec des réponses spontanées et sans aucune réserve.
Le dernier film de James Gray, «Ad Astra» met en scène Brad Pitt et devrait sortir en salles début 2019.
Ouafaa Bennani
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06 Décembre 2018
À 16:45
