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Les Matadors en quête d’une seconde étoile

Après une campagne de qualification quasi parfaite, l’Espagne aborde cette édition 2018 de la Coupe du monde avec l’ambition de rééditer l’exploit du Mondial 2010. La Roja tentera surtout de faire oublier la déception de la Coupe du monde 2014 au Brésil où l’équipe s’est fait évincer dès le premier tour. La Roja «version 2018» est une équipe composé d’un mélange d’anciens cadres et d’une nouvelle génération qui monte en puissance. Logée dans le groupe B, en compagnie du Portugal, du Maroc et de l’Iran, l’Espagne sera une équipe difficile à battre.

Les Matadors en quête  d’une seconde étoile

Les matadors ont livré une campagne qualificative pour le mondial très convaincante. Logés dans le groupe G, avec l’Italie et l’Albanie en outsider notamment, les Espagnols se sont finalement qualifiés sans soucis majeurs, avec neuf victoires et un nul en dix rencontres, inscrivant 36 buts au total et n’en encaissant que trois. Les Matadors vont d’ailleurs confirmer leur retour sur le devant de la scène lors de chaque match, notamment lors de la rencontre qui les a opposés à l’Italie. Les Espagnoles vont alors laminer la Squadra azura sur le score de 3-0. Un niveau très élevé que la Roja va reconfirmer lors des matchs amicaux, notamment celui face à l’Argentine, remporté 6-1, avec en bonus un triplé d’Isco.
Arrivée à la tête de la Roja après l’Euro 2016, Julen Lopetegui saura apporter sa touche de fraîcheur à une équipe marquée par la déception du mondial 2014 au Brésil où l’équipe, tenante du titre, s’est fait éliminer au premier tour par les Pays-Bas. Mais l’équipe a depuis remis les pendules à l’heure devenant même une équipe imbattable depuis l’Euro. Riche d’une nouvelle vague de joueurs issus du Real et du Barça, l’Espagne devrait compter sur cette nouvelle génération, comme Koke, Carvajal, Thiago, Isco ou encore Rodrigo Moreno, qui constituent désormais des éléments essentiels de l’ossature de la sélection espagnol, pour ajouter une nouvelle Coupe du monde au palmarès du pays. Un défis qui reste accessible pour la Roja malgré le récent  limogage du sélectionneur Julen Lopetegui .

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