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«C’est d’abord un choix de cœur que de vouloir créer cette filière au Maroc. C’est une volonté de la créatrice Adeline Moniez, depuis notre première rencontre, qui date de 2006, où elle m’avait demandé deux choses : développer la marque à Dubaï, puis installer la maison au Maroc. C’est un projet de développement auquel on veut apporter nos contributions et nous souhaitons, naturellement, avoir une contribution locale. On espère que ce projet de cœur puisse évoluer pour que des familles marocaines puissent vivre de cette activité de Marbella et que des consommatrices puissent être heureuses de porter ces produits. Notre objectif est, également, de chercher des ambassadrices de ces produits, dans une logique de création d’activités pour ces femmes», précise Zakaria Nana qui, depuis février 2017, n’arrête pas de sillonner le Maroc pour trouver un lieu adéquat pour implanter cette Maison. Sachant que le Maroc est le berceau, par excellence, de l’ornement corporel. À cet effet, Adeline Moniez ne manque pas de souligner qu’avec la tradition ancestrale du henné, le Maroc a toujours été, pour elle, une source d’inspiration très fertile.
Sollicitée par de grandes maisons de mode, les marques de Marbelle estiment connaître un bon essor au Maroc, grâce à certains de ses prix accessibles et à la qualité du travail très rénovateur, utilisant des technologies de pointe de positionnement sur le corps. Les fondateurs du leader mondial du bijou de peau comptent énormément sur le développement de la créativité pour atteindre un vaste marché. Et ce, en accueillant les artisans-bijoutiers qui cultivent un savoir-faire unique et évolutif, garant du maintien et du développement de la renommée internationale de la Maison, résolument attachée aux traditions d’excellence et d’innovation. Ainsi, dans l’attente de l’ouverture de cette première filière au Maroc, Adeline Moniez invite les femmes marocaines à partager sa passion et son dévouement pour faire connaître cet art singulier à travers le monde.
