Notre consœur d’«Al Maghribia», Khadija Benichou, primée par la Fondation Salé pour la culture et l’art

Le sérieux et l’engagement professionnel dans le monde de la presse ont été récompensés jeudi dernier par la Fondation Salé pour la culture et l’art en la personne de notre consœur Khadija Benichou. Journaliste au quotidien «Assahra Al Maghribiya» du Groupe «Le Matin», elle a reçu le Prix d’encouragement lors de la première édition du Prix de la presse, créé par cette Fondation. Son article «La coopérative Sultana révèle l’importance de soutenir des projets générateurs de revenus» a été primé aux côtés de celui du journaliste Amine Boushaba de «l’Économiste», intitulé «Si Salé m’était conté».
Ayant entamé sa carrière en tant que journaliste à «La Mañana», publication hispanophone éditée jadis par le groupe «Le Matin», Mme Benichou avait rejoint la rédaction d’«Assahra Al Maghribia» en 2006 en tant que journaliste dans la rubrique «Société». À deux années de son départ à la retraite, Mme Benichou a su conserver toute sa motivation pour exercer un des métiers les plus difficiles. Selon ses collègues, son professionnalisme et son engagement font d’elle une véritable dynamo de la rubrique qu’elle continue d’animer avec des articles très appréciés des lecteurs.
Souvent décrite par ses collègues comme «une dame de fer», Mme Benichou est connue également pour son calme et son sérieux. Travailleuse acharnée, elle a toujours des propositions à faire pour alimenter ses pages et venir en renfort aux autres rubriques du journal. Pour elle, le travail passe avant tout.
À rappeler que le Prix d’argent de la première édition du Prix de la presse de la Fondation Salé pour la culture et l’art a été remporté ex aequo par le journaliste Abdellah Assoul d’«Al Ahdath Al Maghribia» pour son article «La Visite Royale : Salé une ville à deux vitesses», et le journaliste Mustapha Chakiri d’«Assabah» pour son article «Les barques de Salé, victimes du tramway».
S’exprimant à cette occasion, le président de la Fondation Salé pour la culture et l’art, Mohamed Lotfi Al Mrini, a indiqué que la première édition de ce Prix constitue une occasion de mettre en avant les différents contenus journalistes qui traitent des sujets relatifs à la ville de Salé. À travers ce Prix, «nous souhaitons mettre en place des canaux de communication avec les différents organes en vue de consolider les relations entre les différentes institutions publiques et privées, afin d’identifier les contenus traitant des différents volets de la ville de Salé», a-t-il déclaré.