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Les partis de la majorité apportent leur soutien aux mesures annoncées par le ministère de l’Éducation nationale

Les partis de la majorité apportent leur soutien aux mesures annoncées par le ministère de l’Éducation nationale
Les chefs des partis de la majorité lors d’une précédente réunion

Quelques heures seulement après le point de presse organisé, jeudi, conjointement par le porte-parole du gouvernement et le ministre de l’Éducation nationale et durant lequel ce dernier n’a pas hésité à brandir la menace de licenciement contre les enseignants des AREF en grève depuis plusieurs jours, les partis de la majorité ont apporté leur soutien «indéfectible» au département de l’Enseignement. Dans un communiqué rendu public à l’issue de la réunion de la coalition gouvernementale, les six composantes de la majorité ont exprimé leur appui à «l’approche adoptée par le gouvernement dans la gestion du dossier des enseignants des Académies régionales de l’éducation et de la formation (AREF)».
Selon le communiqué signé par le Parti de la justice et du développement (PJD), le Rassemblement national des indépendants, le Mouvement populaire, l’Union socialiste des forces populaires, l’Union constitutionnelle et le Parti du progrès et du socialisme, l’approche gouvernementale dans ce dossier a été marquée par «la responsabilité, l’écoute, la communication, le dialogue et l’interaction rapide». C’est ainsi que le SG du PJD, Saâd Eddine El Othmani, et ses alliés ont rappelé que le recrutement des enseignants au niveau régional est un choix stratégique qui «permettra de renforcer les ressources humaines du secteur et de réduire le chômage des jeunes».
À rappeler que le ministre de l’Éducation nationale, de la formation professionnelle, de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Saïd Amzazi, a appelé tous les enseignants à rejoindre leurs classes. «La coordination, qui ne jouit d’aucune légitimité la prédisposant à convoquer une grève, nous a mis devant un cas d’atteinte au service public, ce qui va à l’encontre de l’intérêt général et au droit de l’élève à la scolarisation», a-t-il affirmé. 

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