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La RSB en quête d’un avantage au Kenya, le HUSA défie le Zamaleck sans sourciller

Les deux représentants du football marocain en Coupe de la CAF entament les quarts de finale avec des fortunes diverses. La Renaissance de Berkane ira défier les Kenyans de Gor Mahia à Nairobi dimanche, tandis que le Hassania d’Agadir recevra les Égyptiens du Zamaleck au stade Adrar.

La RSB en quête d’un avantage au Kenya, le HUSA défie le Zamaleck sans sourciller

Qualifiée en tant que premier de la poule A, la Renaissance de Berkane a logiquement hérité d’un adversaire moins imposant que celui du Hassania d’Agadir. Les Orientaux seront donc amenés à dépasser la formation kényane de Gor Mahia, 14 fois championne du Kenya et vainqueur de la Coupe des Vainqueurs de Coupes africaines en 1987. Un club qui dicte sa loi donc dans son pays, mais qui a plus de difficultés à s’imposer sur la scène continentale. Après un voyage exténuant, le coach Mounir Jaâouani a été contraint d’annuler l’entraînement prévu jeudi, se contentant des séances de vendredi et samedi avant la rencontre qui est prévue dimanche à 14h. La RSB sera privée de Abdessamad Lembarki et de Youssef Farhan, tous deux blessés. L’objectif des Oranges sera donc d’éviter d’encaisser ou tout au pire de marquer un précieux but à l’extérieur. À partir de 10h au stade Adrar, le Hassania d’Agadir entamera à son tour son parcours en quarts de finale de la Coupe de la CAF, mais face à un adversaire d’un autre calibre. Le HUSA devra ainsi se défaire du Zamaleck pour voir le dernier carré de la compétition. Dans l’histoire des confrontations maroco-égyptienne en coupes africaines, seul l’AS FAR a réussi à éliminer l’ogre cairote (en demi-finale de la Ligue des champions 1985). Le Hassania, qui fête sa toute première qualification en quart de finale d’une compétition africaine, sera confronté à un club bien plus expérimenté. Toutefois, les protégés de Miguel Gamondi devraient évoluer sans complexes, comme ils ont pris l’habitude de faire sur leur pelouse, mais auront quand même intérêt à prendre leurs précautions face à une équipe qui parvient à gagner même en n’étant pas dans le meilleur de sa forme. 

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