Une session de formation sur le crime économique et financier s’est ouverte, mardi à Rabat, avec comme objectif d’aborder les différents aspects de ce genre de crimes, ainsi que les moyens de lui faire face, dans un contexte de mondialisation. Organisée dans le sillage du troisième programme de renforcement de la bonne gouvernance et de la lutte contre le blanchiment d’argent, en partenariat avec l’Instance centrale de prévention de la corruption (ICPC) et la présidence du ministère public, et financée conjointement par l’Union européenne (UE) et le Conseil de l’Europe, cette formation de deux jours vise à doter le corps de la justice (magistrats du ministère public, présidents des chambres de finances auprès des Cours d’appel) des outils pédagogiques et juridiques nécessaires pour le traitement du crime financier, eu égard à ses répercussions néfastes, notamment sur le plan économique.
Vingt-cinq magistrats formés à la lutte contre le crime économique et financier
Vingt-cinq magistrats ont bénéficié d’une session de formation visant à les outiller pour mieux traquer le crime économique et financier. Organisée dans le cadre du troisième programme de renforcement de la bonne gouvernance et de la lutte contre le blanchiment d’argent, en partenariat avec l’Instance centrale de prévention de la corruption et la présidence du ministère public, cette formation est financée conjointement par l’Union européenne et le Conseil de l’Europe.
La session de formation sur le crime économique et financier a été organisée, mardi à Rabat, dans le sillage du troisième programme de renforcement de la bonne gouvernance et de la lutte contre le blanchiment d’argent.
Abdelwahed Rmiche
|
10 Avril 2019
À 20:04
