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La 35e édition repoussée à avril 2021

Prévue du 3 au 13 avril 2020, puis décalée au mois de septembre à cause de la pandémie du Covid-19, la 35e édition du Marathon international des sables a finalement été repoussée au mois d’avril 2021. D’après un communiqué publié lundi, sur le site officiel du marathon, les organisateurs justifient ce report par la difficulté d’organiser sereinement un tel événement international, compte tenu du contexte actuel lié au virus.

La 35e édition repoussée à avril 2021
Le Marathon des sables rassemble chaque année des milliers de passionnés de sport de l’extrême.

Les passionnés des trails de l’extrême et des grandes étendues désertiques devront encore prendre leur mal en patience, avant de pouvoir se mesurer aux éléments de la nature dans le grand sud-est marocain. En effet, la 35e édition du Marathon international des sables (MDS), qui était initialement prévue du 3 au 13 avril 2020, avant d’être décalée au mois de septembre à cause de la pandémie du Covid-19, a été repoussée au mois d’avril 2021. Dans un communiqué publié lundi, sur le site officiel du MDS, l’initiateur du marathon et directeur de la course, Patrick Bauer, a justifié ce report par le contexte d’incertitude générale qui prévaut dans le monde à cause de la pandémie du Covid-19.
«En conséquence de la dégradation de la situation internationale, qui nous semblait stable il y a encore quelques semaines, nous prenons la lourde décision de reporter à nouveau ce 35e Marathon des sables à la période allant du 2 au 12 avril 2021», a-t-il indiqué. Et de poursuivre : «Dans ce contexte d’incertitude générale, nous faisons face à trop d’inconnues pour organiser sereinement notre belle aventure MDS. Nous nous tenions prêts à répondre à toutes les mesures sanitaires qu’il aurait fallu mettre en place. Cependant, il nous semble inenvisageable de nous rassembler dans le désert pour cette 35e édition dans ces conditions si complexes à la fois pour nous organisateurs, mais aussi pour nos concurrents, bénévoles, partenaires, prestataires, journalistes... de subir l’’incertitude de pouvoir quitter son pays d’origine, d’entrer au Maroc, de se plier ou pas à une quarantaine au retour chez soi», précise Bauer.

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