«Les djellabas vertes se suicident», un recueil de nouvelles du romancier et nouvelliste Abdellah Baïda, a été présenté mercredi à Casablanca, à l’occasion de la 26e édition du Salon international de l’édition et du livre (SIEL). Ce recueil de nouvelles est une plongée dans l’univers bigarré dont l’auteur convoite la représentation. Les situations sont tantôt tragiques tantôt philosophiques, représentant une belle palette de couleurs et d’émotions qui appelle à une randonnée trépidante, ainsi qu’une symphonie qui oscille entre le rêve et la réalité.
Abdellah Baïda est un romancier, nouvelliste et essayiste marocain. Il a publié, entre autres, «Les Voix de Khaïr-Eddine» (Essai, 2007), «Au fil des livres», chronique de littérature marocaine de langue française (Essai, 2011), «Le Dernier salto» (roman, 2014, Prix Grand Atlas dans les catégories «Culturethèque» et «Étudiants»), «Nom d’un chien» (roman, 2016, sélectionné à Paris pour le prix de l’ADELF) et «Testament d’un livre» (roman, 2018). Il a été décoré en 2012 des insignes de Chevalier dans l’Ordre des Arts et des Lettres de la République française.
La 26e édition du SIEL, organisée par le ministère de la Culture, de la jeunesse et des sports, en collaboration avec l’Agence marocaine de développement des investissements et des exportations et le Parc des expositions de Casablanca, connaît la participation de 703 exposants, dont 267 directs et 436 indirects, venus du Maroc, d’Afrique, d’Europe, d’Asie et d’Amérique qui présentent un fonds documentaire riche et varié couvrant plusieurs champs de connaissance, avec plus de 100.000 ouvrages.