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La BAD approuve un investissement de 20 millions de dollars

La BAD approuve un investissement  de 20 millions de dollars
«Cet investissement fait partie des efforts de la Banque pour alléger les contraintes de financement dans le secteur des énergies renouvelable», déclare Wale Shonibare, vice-président par intérim de la BAD pour l’énergie, le changement climatique et la croissance verte.

Le conseil d’administration de la Banque africaine de développement (BAD) a approuvé cette semaine un investissement de 20 millions de dollars dans le fonds international de capital durable métier II. Objectif : soutenir les énergies renouvelables en Afrique subsaharienne. 
Ce financement de la Banque contribuera à la production de 178,5 mégawatts supplémentaires d’énergies renouvelables à des fins commerciales et résidentielles. De même, cet investissement créera également des opportunités pour le traitement des eaux usées industrielles et la production de déchets en énergie.
«Le Fonds international de capital durable Métier II possède une vaste expérience dans le développement et le financement de projets d’énergie renouvelable avec de solides partenaires techniques et co-développeurs en Afrique australe. Nous sommes heureux de nous joindre à d’autres investisseurs pour soutenir leur expansion sur de nouveaux marchés africains afin de libérer le vaste potentiel renouvelable du continent», déclare Wale Shonibare, vice-président par intérim de la BAD pour l’énergie, le changement climatique et la croissance verte. «Cet investissement fait partie des efforts de la Banque pour alléger les contraintes de financement dans le secteur des énergies renouvelables», ajoute-t-il. 
Rappelons que depuis son lancement, le Fonds Métier II a déployé plus de 550 millions de dollars dans les pays africains, y compris des projets d’énergie solaire, éolienne et hydroélectrique en Afrique australe et orientale. Il est aussi un acteur majeur de l’énergie solaire sud-africaine. «Nous adhérons aux fortes synergies entre la Banque africaine de développement et le fonds international de capital durable Métier II. Nous sommes impatients de fournir conjointement un portefeuille d’investissements dans les énergies propres et les ressources efficaces», souligne Marc Immerman, directeur général du fonds. 

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