Comdata rend hommage aux mamans de SOS Villages Enfants

La filiale marocaine de Comdata, l’un des principaux fournisseurs mondiaux de solutions innovantes dans les opérations clients, a organisé le vendredi 14 février dernier, une cérémonie en hommage aux mamans de SOS Villages Enfants. Comdata, qui va lancer prochainement sa fondation pour encadrer ses différentes actions sociales, a également offert des cadeaux à ces mamans, à l’occasion de la Saint Valentin, pour les récompenser des efforts qu’elles fournissent dans le cadre du programme. «Ce n’est pas la première fois que Comdata Maroc fait ce genre d’initiatives. La société nous accompagne régulièrement à travers de belles actions que ce soit au profit des mamans de SOS Villages Enfants ou même des enfants», confie Loubna Mejdoub, responsable du programme de renforcement de la famille à SOS Villages d’Enfants à la section de Médiouna.

Les mamans présentes lors de cette journée sont toutes des bénéficiaires du Programme de renforcement de la famille. Il s’agit d’un programme qui consiste à soutenir et accompagner ces familles pour prévenir l’abandon des enfants. Il est fondé sur une vision holistique qui intègre l’enfant, sa famille et sa communauté. Il s’agit d’assurer l’intégration des mères seules et de leurs enfants au sein de la communauté, en garantissant l’accès des enfants à leurs droits fondamentaux à savoir l’alimentation, la santé, l’identité et l’éducation et la montée en compétence des femmes pour continuer la prise en charge de leurs enfants et atteindre une autonomie économique durable. «Grâce au programme de renforcement de la famille à SOS Villages d’Enfants, on arrive à sauver des enfants de l’abandon. Ces derniers sont mieux pris en charge et ont accès à leurs droits fondamentaux. Quant aux mamans en situation de précarité, elles arrivent à améliorer leurs conditions de vie par le biais de la sensibilisation, la formation et l’insertion professionnelle, et arrivent à assurer un revenu stable leur permettant de prendre en charge leurs familles», indique Loubna Mejdoub.