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Les composantes de la Chambre des conseillers condamnent l’atteinte aux sacralités de l’Islam

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Les composantes de la Chambre des conseillers ont condamné l’atteinte aux sacralités de l’Islam, en particulier les caricatures du Prophète Sidna Mohammed, Paix et Salut sur Lui. Lors de la séance hebdomadaire des questions orales, mardi, les composantes de l’institution législative ont salué les communiqués du ministère des Affaires étrangères de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger et du Conseil supérieur des oulémas, à ce sujet. Dans ce contexte, le groupe du Parti justice et du développement (PJD) a «dénoncé fermement les caricatures du Prophète Sidna Mohammed et la persistance répétée à les republier», estimant que «ces dessins constituent un outrage inacceptable et inapproprié vis-à-vis des sentiments de deux milliards de musulmans à travers le monde». De son côté, le groupe Istiqlalien de l’unité et de l’égalitarisme a condamné «ce comportement déraisonnable», soulignant que «la liberté d’expression s’arrête là où commence celle des autres». Sur le même registre, le groupe haraki a regretté «ces pratiques dont les conséquences sont fortuites (...) et a dénoncé l’atteinte à l’Islam basé sur les valeurs de tolérance et de coexistence». Le groupe du Rassemblement national des indépendants (RNI) a, pour sa part, souligné que la «liberté» a ses règles et ses principes, tandis que le groupe authenticité et modernité a indiqué que ces pratiques «sont inacceptables et exacerbent le sentiment de haine et de racisme».
 La Confédération démocratique du travail (CDT) a, quant à elle, exprimé «son indignation face à ces comportements visant le Prophète Sidna Mohammed», rejetant «l’extrémisme où qu’il soit». Le groupe socialiste a, de son côté, indiqué que toutes les religions sont convaincues que la liberté d’expression s’arrête là où celle des autres commence, alors que le groupe constitutionnel démocratique et social a considéré que «cette insulte va à l’encontre du respect des religions, des libertés, de la coexistence et de la paix». 

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