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Jusqu’au 21 octobre, la Délégation générale Wallonie-Bruxelles à Rabat invite les cinéphiles à découvrir en ligne le meilleur du cinéma belge francophone. Cet événement est organisé à l’occasion des Fêtes de Wallonie et de la Fête de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Le festival célèbre aussi les 10 ans des récompenses belges «les Magritte du cinéma» (l’équivalent belge des César en France ou des Oscars aux États-Unis en hommage au peintre belge René Magritte.)
Le Festival de cinéma Wallonie-Bruxelles, lancé depuis le 21 septembre, présente 15 titres dont 5 longs métrages, 5 courts métrages et 5 films documentaires belges francophones. Tous ces films ont été primés lors des Cérémonies des Magritte du cinéma qui fêtent leurs 10 ans cette année. L’événement gratuit est accessible partout dans le monde sur Facebook, à partir du lien «https://fb.me/e/1tSY3jYRN», sur la page de la Délégation générale Wallonie-Bruxelles à Rabat et le site web «https://www.festivalscope.com/page/wbi/». Du fait de la crise sanitaire, l’événement fait plaisir aux cinéphiles marocains privés des salles obscures et de plusieurs événements culturels. Grâce au partenariat entre la Délégation générale Wallonie-Bruxelles à Rabat, Wallonie-Bruxelles Images et Les Magritte du cinéma, le public marocain peut découvrir les meilleurs films belges francophones primés.
Programmation courts métrages
«Matriochkas» de Bérangère Mc Neese.
«Le plombier» de Méryl Fortunat-Rossi et Xavier Seron.
«La foire agricole» de Stéphane Aubier et Vincent Patar.
«Dernière porte au Sud» de Sacha Feiner.
«Dimanches» de Valéry Rosier.
Documentaires à voir en ligne
«Ni juge ni soumise» de Jean Libon et Yves Hinant.
«Burning Out» de Jérôme Le Maire.
«Mon nom est clitoris» de Daphné Leblond et Lisa Billuart Monet.
«En bataille, portrait d’une directrice de prison» d’Eve Duchemin.
«L’homme qui répare les femmes» de Thierry Michel.
Longs métrages programmés
«L’étrange couleur des larmes de ton corps» de Hélène Cattet et Bruno Forzani.
«Keeper» de Guillaume Senez.
«Tous les chats sont gris» de Savina Dellicour.
«Géants» de Bouli Lanners.
«À perdre la raison» de Joachim Lafosse.
