Le recueil de poésie «Finis Gloriae Mundi» (la fin de la gloire du monde) de Abdelhak Najib invite le lecteur à un monde où les vérités cachées sont révélées d’une manière surnaturelle. Selon l’auteur, «Finis Gloriae Mundi» est un voyage spirituel dans des univers comme l’alchimie, les anciennes civilisations et l’archéologie interdite. Paru aux éditions Orion, ce recueil de 172 pages va au-delà du temps. «Il essaie de balayer toute temporalité et de sortir de l’espace, rencontrer d’autres univers éthérés et élevés dans une forme d’évanescence dans le style et l’écriture», explique Abdelhak Najib.
Ce poète, écrivain et journaliste qualifie son livre de chamanique pour son côté mystérieux et alchimique. Ce recueil rend hommage à l’alchimiste Fulcanelli dont le dernier ouvrage «Finis Gloriae Mundi» n’a pas été complètement publié. Son disciple Eugène Canseliet en a republié les deux premiers livres («Mystère des Cathédrales» et «les Demeures philosophales»). Abdelhak Najib est critique d’art et de cinéma, chroniqueur et animateur-télé. Natif de Casablanca en 1969, il a occupé plusieurs postes de rédacteur en chef dans plusieurs publications nationales. Il présente depuis mars 2014 l’émission «Sada Al Ibdae» sur la chaine de télévision Al Oula. Son premier roman, «Les territoires de Dieu», est paru en avril 2015. Il a ensuite publié «Le printemps des feuilles qui tombent» et «Ce que m’ont dit les peintres…», une anthologie de la peinture marocaine sur sept volumes. Il publie, en 2018, «Le pays où les pierres parlent» et «Le temps du rêve». Il a été décoré en 2017 des Hautes Insignes de Divine Académie Paris pour son apport aux arts et la culture dans le monde arabe. Il a été élevé au rang d’ambassadeur des Arts et des Lettres à Paris en octobre 2019.
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